présentation de felixfelicis

Brad Warner a écrit:c'est comme de perdre son pucelage. On ne peut le perdre qu'une seule fois. Et peu importe ce qu'on peut faire comme sexe après, on se rappelle toujours de sa première fois.

Parce qu'on a franchi une limite. Avant d'avoir une pour la première fois une relation sexuelle, le sexe est une abstraction. On peut avoir lu sur le sujet, regardé des vidéos ou imaginé ce à quoi cela pourrait ressembler, etc. Mais une fois qu'on l'a fait pour de vrai, on découvre des tas de trucs sur le sexe qu'aucune vidéo ne pourrait jamais nous montrer, qu'aucun écrit ne pourrait expliquer de façon adéquate, et qui ne faisaient absolument pas partie de notre version imaginaire de l'activité. Du genre, "OK, c'est ça que ça sent!"

Shintai a écrit:Les communautés monastiques se développent dès le IXe siècle. À la fin du XVIe siècle, le Japon en compte environ quatre-vingt-dix mille. Quelques unes abritent jusqu'à un millier d'hommes et de garçons, et la plus vaste jusqu'à trois mille. Les moines peuvent garder auprès d'eux des novices ou Chigo, garçons souvent très jeunes issus des grandes familles, venus simplement s'initier à la liturgie ou bien préparer une carrière monastique.

La modération a écrit: Vous devez donner un lien vers vos sources.
Shimtai est une référence du shinto. Est-ce un pseudo sur un site ?
Vous devez préciser.
La modération.

Les relations sexuelles entre moine et chigo sont fréquentes. Elles incluent les rapports anaux. Chaque partenaire porte un nom et tient un rôle précis : l'aîné (Nenja ou Anibun) et le cadet (Nyake ou Otôtobun) contractent un lien fraternel (Kyôdai Chigiri) et se jurent loyauté mutuelle. En 1419 et 1436, interdiction sera faite aux moines, non pas d'entretenir des relations sexuelles avec leur(s) novice(s), mais de les travestir en jeunes filles.

zenoob a écrit:C'est faux. Tous ses articles sont accessibles gratuitement

De là à parler "d'institutionnalisation" de la chose...

En plus il y aurait eu besoin d'aller en Chine se faire expliquer tout ça, afin de l'importer au japon.
Les japonais ont encore été pollués par les chinois de quoi rire quand même...  

felixfelicis a écrit:Je pratique Zazen seul chez moi quotidiennement.

"C'est un peu court jeune homme,
On aurait pu dire bien des choses en somme." Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand.  
Nous attendons la suite.
Comment avez-vous connu la pratique de zazen ? Qui vous a initié à la posture ? etc.
Et puis c'est où chez vous ?  
C'est votre sujet de présentation alors allez-y.

buddhachannel a écrit: Il était populairement expliqué que Kûkai, le fondateur de la secte bouddhiste Shingon, avait introduit le nanshoku au Japon après être revenu de la Chine des Tang au neuvième siècle. Toutefois, il ne parle pas de ce thème dans aucun de ses travaux majeurs. Il doit aussi être noté que toute activité sexuelle était expressément interdite par le Vinaya ou code de la discipline monastique pour les moines bouddhistes, et Kûkai était un défenseur enthousiaste du Vinaya. Au même moment, le Mont Koya, siège du monastère de Kûkai, devint un dicton pour parler de l’amour avec une personne du même sexe.

Malgré deux interventions vous refusez de vous présenter. - Vous avez donc un premier avertissement.
De plus vous ne respectez pas l'interdit n°5 de la Charte de ce forum → https://zen-et-nous.1fr1.net/t964-charte-du-forum-a-lire-et-a-respecter qui stipule que "Nous sommes ici pour discuter d'idées et d’opinion, non des personnes qui les émettent."
Vous avez donc un deuxième avertissement
Si vous persistez vous serez banni pour une période indéterminée...
La modération.

Bernard Faure a écrit:Or, il suffit d'examiner d'un peu près les chroniques zen pour se rendre compte que, dans la pratique, l'interprétation de l'identité entre passions et éveil (bonnô soku bodai), l'un des corollaires de la théorie de l'éveil foncier qui fournissait la base doctrinale du tantrisme japonais tout comme du Zen, ouvrait la porte à un dangereux laxisme. Et notamment l'homosexualité masculine (ou plus précisément la pédophilie), si on la faisait remonter à l'action "civilisatrice" de Kûkai, n'en avait pas moins droit de cité dans les monastères zen [7].

Kaïkan a écrit:

J'ai laissé se développer uniquement pour que vous puissiez tous voir la dérive et comprendre (voir souhaiter) de la fermeté de la part de la modération.  

lol Kaikan
Tu nous laissais souffrir pour susciter l'approbation de la suite hihi
Je blague hihih
bulleOcean

Kaïkan a écrit:Dairyû attribue au patriarche Zen Bodhidharma les paroles suivantes : "Si vous savez que votre propre esprit est le bouddha, vous n'avez plus à vous prosterner devant le bouddha, lire les écritures ou observer les défenses... Ne tranchez pas le désir sexuel, car ce désir est vide et tranquille." [8]