OK

Truc dit :

Le ciel est bleu

machin chose dit

C'est vrai

Super, voilà deux nouveaux pots alors ?

Ben ouai mais qu'est-ce qu'ils s'emmerdent.

Sois mon meilleur ennemie! disait Nietzsche, encore lui.

Edit : Plus précisément il disait , "en mon ami je veux voir mon meilleur ennemie"

Ils ne s'emmerdent pas, ils regardent le ciel

Fred a écrit:Sois mon meilleur ennemie! disait Nietzsche, encore lui.

Edit : Plus précisément il disait , "en mon ami je veux voir mon meilleur ennemie"

Ce que je crois avoir compris de Nietzsche a travers cette phrase, c'est qu'il vois l'enrichissement personnel dans un combat : celui qui me bat je vais tellement avoir la haine que je vais me surpasser pour le vaincre, et ainsi de suite pour l'adversaire. :
«Ce qui ne me tue pas me rends plus fort.»
C'est en effet un partie de l'enrichissement humain, personne peut le nier, on apprend de ses blessure, on deviens plus fort, mais peut être que ce n'est pas non plus la sagesse qui se developpe.

Cette vision peut être élargie.
L'humain peut aussi apprendre d'autre manière, et l'avantage de manière plus pacifique, c'est qu'il apprendra en causant moins de mal pour lui et autrui.

Ce que je crois avoir compris de Nietzsche a travers cette phrase, c'est qu'il vois l'enrichissement personnel dans un combat : celui qui me bat je vais tellement avoir la haine que je vais me surpasser pour le vaincre, et ainsi de suite pour l'adversaire.

Notre meilleur énemie pourrait être dans l'idéal celui qui nous stimule à combattre certes, mais pas nécessairement pour remporter la victoire contre lui.

Le meilleur ennemi est un AMI car il montre par notre ressenti nos propres pojections égotiques (ce qu'on ne supporte pas chez lui (l'ennemi) etc...).
Un ennemi existe parcequ'il est projection de nos propres travers et donc le combat ici, c'est le combat contre soi-même.
Parcequ'il est conscient de cela, il apréci un enemi autant qu'un ami voir plus car un ami peut se montrer trop courtoi

Fred a écrit:

Ce que je crois avoir compris de Nietzsche a travers cette phrase, c'est qu'il voit l'enrichissement personnel dans un combat : celui qui me bat je vais tellement avoir la haine que je vais me surpasser pour le vaincre, et ainsi de suite pour l'adversaire.

Notre meilleur énemie pourrait être dans l'idéal celui qui nous stimule à combattre certes, mais pas nécessairement pour remporter la victoire contre lui.

(de ce que j'en ai compris, mais c'est a verifier, car je ne suis pas philosophe) Nietzsche regarde le processus sur la longueur et non sur l'opposition simple, quand les deux se combattent ils se combattent et pensent a gagner. Quand il y a un perdant, en fait le gagnant ne se rend pas compte de ce qu'il vient de creer : un perdant dont l'envie est de se venger et de faire mieux => l'avidité de devenir un gagnant, c'est le but.
Alors que generalement le gagnant si il ne trouve pas une nouvelle opposition se ramolli...
C'est un processus dualliste, deux egocentrisment qui sopposent.

Steffzen, Oui, je suis d'accord, c'est bien un combat contre soi même, car finalement, il ne peut pas y avoir d'opposition si il n y a qu'un seul combattant et si l'on a rien a perdre.

Heureusement ce processus dualliste n'est pas le seul moyen d'apprendre.

Fred a écrit:Ben ouai mais qu'est-ce qu'ils s'emmerdent.

c'est peut être parce que ils ne savent pas regarder et se contenter de ce qu'ils ont, ils cherchent a se divertir.
l'ennui est très important pour déconstruire le processus des skandhas : le fonctionnement de l'égo(centrisme).

si ils reste la et regarde le ciel, alors il le verront changer petit a petit, ils verront des oiseaux passer, leur attention va s'aiguiser aux sons, au sensations : ca caille en ce 9 juin ?!!...
De nombreuses pensées vont leurs traverser l'esprit, peut être vont-il en parler... pour remplir le vide parce que il s'emmerde trop... Mais meme si ils ne parle pas
et ils peuvent decouvrir que ce qu'il croyait comme un moment inerte ou il ne se passe rien est en fait très riche, aussi riche que le reste.

(de ce que j'en ai compris, mais c'est a verifier, car je ne suis pas philosophe) Nietzsche regarde le processus sur la longueur et non sur l'opposition simple, quand les deux se combattent ils se combattent et pensent a gagner. Quand il y a un perdant, en fait le gagnant ne se rend pas compte de ce qu'il vient de creer : un perdant dont l'envie est de se venger et de faire mieux => l'avidité de devenir un gagnant, c'est le but.
Alors que generalement le gagnant si il ne trouve pas une nouvelle opposition se ramolli...
C'est un processus dualliste, deux egocentrisment qui sopposent.

Je pense qu'on est pas obligés de considérer l'idée du meilleur énemie uniquement dans ce sens.
Par exemple, je me souviens qu'un de mes amis très cher était parti un jour pour un long voyage, à la suite de cela, j'ai senti qu'il était impératif pour moi de faire comme lui cette expérience et de partir moi aussi. Son départ m'avait tout simplement stimulé, stimulé à grandir.

Oui tout a fait d'accord.
On peux alors peut être regarder ce qui rapproche ces deux exemples.
j'emet une hypothese, Il me semble que c'est l'attachement.

Dans l'exemple de Nietzsche, l'attachement a gagner, a avoir le dernier mot. On ne peux pas simplifier qu'a cela, mais beaucoup de personne ont appris a être aimer de cette manière, être aimer par le compliment, en dominant. Et si il ne domine pas alors il s'en prenne a ce qui s'oppose a leur domination.

Dans ton exemple, la réalité peut être complexe, seul toi sait vraiment de quoi il en retourne. Tu dois très bien savoir pourquoi tu as grandi a la suite de ce départ, ce qui a été boulversé, dans ce qui te semblait etabli auparavant.

mais peut être que ce qui unifie ces deux exemples c'est l'attachement ébranlé.
Après est ce que les réponses que l'on trouve le plus souvent inconsciemment, (croyant être conscient, et aux manette de sa vie), sont les bonnes, ca reste a voir, c'est a chacun de s'etudier-soi même.
Ce que montre l'idée de Nietzsche, c'est que dans son exemple, la pluspart du temps on replonge et l'on reproduit la meme chose, on deplace juste l'attachement sur autre chose...

Tiens, j'ai entendu une blague drôle et intéressante à la fois...

Quelle est la différence entre un gendarme?
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Réponse :

Il ne sait ni lire.

drôle ? (as-tu entendu mes rires ?)

A pasqueu tes gendarme... scuses j'ai fait une gaffe.

(bon ça remplacera pas mes rires hein...)