Cela fait déjà un petit kalpa... qu'il n'y a pas eu de message ici. Bon, je me lance.
J'ai découvert la pratique "zazen" vers le milieu des années 80, à Toulouse. Le dojo était tenu par Jean-Claude (Reikaï) qui avait étudié avec Deshimaru. C'est le premier moine zen que j'ai rencontré. Mais j'étais aussi intéressé par le yoga et préparais un voyage en Inde... j'ai fini par quitter le sangha de l'époque au bout d'un an. Bien des années plus tard, vivant dans une autre ville, j'ai repris la pratique en dojo.
Ensuite j'ai commencé à participer à diverses sesshins. Quand "Reikaï" a donné ses premières ordinations, en 2000, je suis revenu vers lui prendre les vœux de bodhisattva. Et c'est lui qui m'a donné le nom ici utilisé en pseudo : getsu ryu (dragon de lune). Pour cette ordination, j'avais cousu (petit-à-petit) le fameux rakusu, grâce à l'aide de quatre anciennes disciples de Sensei différentes, que je remercie.
Le dojo ayant fermé, j'ai poursuivi un temps zazen au sein de plusieurs groupes. Ce n'était pas l'idéal. J'ai alors ressenti le moment propice pour approfondir yoga durant plusieurs années avec un bon enseignant, tout en pratiquant seul le dhyana, en complément l'un de l'autre.
J'apprécie certains sûtra et traités bouddhiques comme guides relatifs à la pratique. Je suis aussi inspiré par la valeur universelle de certains textes indiens du Védanta, des Upanishad (la Gitâ en particulier), voire du tantra. Depuis deux, trois ans, je m'intéresse au huatou (koan).
J'ai découvert la pratique "zazen" vers le milieu des années 80, à Toulouse. Le dojo était tenu par Jean-Claude (Reikaï) qui avait étudié avec Deshimaru. C'est le premier moine zen que j'ai rencontré. Mais j'étais aussi intéressé par le yoga et préparais un voyage en Inde... j'ai fini par quitter le sangha de l'époque au bout d'un an. Bien des années plus tard, vivant dans une autre ville, j'ai repris la pratique en dojo.
Ensuite j'ai commencé à participer à diverses sesshins. Quand "Reikaï" a donné ses premières ordinations, en 2000, je suis revenu vers lui prendre les vœux de bodhisattva. Et c'est lui qui m'a donné le nom ici utilisé en pseudo : getsu ryu (dragon de lune). Pour cette ordination, j'avais cousu (petit-à-petit) le fameux rakusu, grâce à l'aide de quatre anciennes disciples de Sensei différentes, que je remercie.
Le dojo ayant fermé, j'ai poursuivi un temps zazen au sein de plusieurs groupes. Ce n'était pas l'idéal. J'ai alors ressenti le moment propice pour approfondir yoga durant plusieurs années avec un bon enseignant, tout en pratiquant seul le dhyana, en complément l'un de l'autre.
J'apprécie certains sûtra et traités bouddhiques comme guides relatifs à la pratique. Je suis aussi inspiré par la valeur universelle de certains textes indiens du Védanta, des Upanishad (la Gitâ en particulier), voire du tantra. Depuis deux, trois ans, je m'intéresse au huatou (koan).