Impermanence...
Citations d’Ajahn Chah: L’impermanence.
Le Bouddha nous a appris à observer les choses précisément là où elles apparaissent. Une fois apparues, elles ne durent pas ; elles disparaissent et d’autres choses apparaissent qui finissent aussi par disparaître – mais ce n’est pas ce que nous voulons !
Quand notre esprit est en paix, nous voulons qu’il continue à être en paix, nous ne voulons pas qu’il s’agite, nous voulons nous sentir bien or ce souhait est contraire à la réalité. Le Bouddha nous a dit de commencer par voir et comprendre clairement la nature de tout ce qui nous entoure.
Ce n’est qu’ensuite que l’esprit sera vraiment calme et paisible.
Tant que nous ne connaîtrons pas ces choses, tant que nous ne comprendrons pas nos humeurs, nous demeurerons des personnes changeantes, nous nous attacherons à nos humeurs et cela tournera à l’entêtement et à l’orgueil…
Ajahn Chah
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
Si on vous demande : « Quel type de nourriture préférez-vous ? » ne prenez pas la question trop au sérieux. Si vous dites que vous aimez vraiment quelque chose, quelle importance ? Réfléchissez : si vous en mangiez tous les jours, l’aimeriez-vous toujours autant ? Vous en viendriez probablement à dire : « Oh, non ! Pas encore de ça ! »
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
Le Bouddha nous a recommandé de regarder d’abord les faits et de voir combien ces choses sont trompeuses ; ensuite seulement pouvons-nous trouver la paix. Quand nous ne connaissons pas les choses telles qu’elles sont, nous croyons les posséder et le piège du « sentiment de soi » fait surface. Nous devons donc remonter à l’origine et découvrir comment cela s’est produit. Il faut que nous comprenions comment les choses sont en réalité, comment elles entrent en contact avec l’esprit et comment l’esprit réagit ; après, nous pourrons être en paix. Voilà ce que nous devons étudier à fond. Si nous refusons que les choses se passent comme elles se passent, nous ne pouvons pas connaître la paix. Où que nous tentions de nous échapper, les choses se produisent toujours de la même manière — c’est leur nature.
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
En termes simples, ceci est la vérité. L’impermanence, la souffrance et l’absence de soi sont la nature même des phénomènes. Ils ne sont rien d’autre que cela, mais nous donnons aux choses bien plus de sens qu’elles n’en ont en réalité.
Méditation et sagesse: Les enseignements d’un maître bouddhiste de la Tradition de la Forêt Tome 1 de Ajahn Chah:
Pendant la méditation il n’y a aucun besoin de prêter attention aux impressions des sens. Chaque fois que l’esprit est affecté par une empreinte sensuelle, où que ce soit dans l’esprit, qu’il y ait un sentiment ou une sensation, lâchez prise simplement. Que ces sensations soient bonnes ou mauvaises est sans importance.
Vertu et méditation : Les enseignements d’un maître boudhiste de la Tradition de la Forêt Livre 1 de Ajahn Chah:
Vous les gens, vous voyez des hommes des femmes, beau, belles, gros, grosses, moches etc…. mois je ne vois que des cadavres animés en train de pourrir
Méditation et sagesse: Les enseignements d’un maître bouddhiste de la Tradition de la Forêt Tome 1 de Ajahn Chah:
De la même manière que vous êtes en train de pratiquer ici pour arrêter de penser et ainsi arriver à la paix. Il faut du calme pour commencer, s’il n’y a que de la pensée la sagesse n’apparaîtra pas, il n’y aura pas de conscience de la vérité. Tout ce qui va apparaître sera une prolifération sans fin. Si vous êtes déjà calme ce n’est pas nécessaire de penser, la sagesse apparaîtra à sa place. Tant que vous pensez, la sagesse n’apparaîtra pas.
Tout apparaît, tout disparaît : Enseignements sur l’impermanence et la fin de la souffrance de Ajahn Chah:
Il n’y a rien là qui exige un entraînement difficile. Par exemple, des parents préviennent un enfant qu’il ne doit pas jouer avec le feu : « Ne t’approche pas du feu, c’est dangereux, tu vas te brûler ! » L’enfant peut ne pas croire ses parents ou ne pas comprendre de quoi ils parlent mais, s’il touche le feu une seule fois et se brûle, ses parents n’auront plus besoin de lui expliquer les choses ni de le surveiller.
Tout apparaît, tout disparaît : Enseignements sur l’impermanence et la fin de la souffrance de Ajahn Chah:
Anicca, l’incertitude, est la vérité. La vérité est là, sous nos yeux, mais nous ne lui accordons pas un regard clair et direct. Le Bouddha a dit : « Ceux qui voient le Dhamma me voient. » Si nous voyons anicca — cette qualité d’incertitude — en toute chose, alors apparaîtront le détachement et le désintéressement par rapport au monde : « Oh ! Ce n’est que ceci. Bah ! Ce n’est que cela. Il n’y a là rien d’extraordinaire, ce n’est que cela.» L’esprit se stabilise dans cette réalisation : « Ce n’est rien d’extraordinaire. Bah ! »
https://www.inspirant.fr/ajahn-chah-limpermanence.html
avec metta
gigi
Ici et Maintenant pleine attention à la pleine conscience
Citations d’Ajahn Chah: L’impermanence.
Le Bouddha nous a appris à observer les choses précisément là où elles apparaissent. Une fois apparues, elles ne durent pas ; elles disparaissent et d’autres choses apparaissent qui finissent aussi par disparaître – mais ce n’est pas ce que nous voulons !
Quand notre esprit est en paix, nous voulons qu’il continue à être en paix, nous ne voulons pas qu’il s’agite, nous voulons nous sentir bien or ce souhait est contraire à la réalité. Le Bouddha nous a dit de commencer par voir et comprendre clairement la nature de tout ce qui nous entoure.
Ce n’est qu’ensuite que l’esprit sera vraiment calme et paisible.
Tant que nous ne connaîtrons pas ces choses, tant que nous ne comprendrons pas nos humeurs, nous demeurerons des personnes changeantes, nous nous attacherons à nos humeurs et cela tournera à l’entêtement et à l’orgueil…
Ajahn Chah
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
Si on vous demande : « Quel type de nourriture préférez-vous ? » ne prenez pas la question trop au sérieux. Si vous dites que vous aimez vraiment quelque chose, quelle importance ? Réfléchissez : si vous en mangiez tous les jours, l’aimeriez-vous toujours autant ? Vous en viendriez probablement à dire : « Oh, non ! Pas encore de ça ! »
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
Le Bouddha nous a recommandé de regarder d’abord les faits et de voir combien ces choses sont trompeuses ; ensuite seulement pouvons-nous trouver la paix. Quand nous ne connaissons pas les choses telles qu’elles sont, nous croyons les posséder et le piège du « sentiment de soi » fait surface. Nous devons donc remonter à l’origine et découvrir comment cela s’est produit. Il faut que nous comprenions comment les choses sont en réalité, comment elles entrent en contact avec l’esprit et comment l’esprit réagit ; après, nous pourrons être en paix. Voilà ce que nous devons étudier à fond. Si nous refusons que les choses se passent comme elles se passent, nous ne pouvons pas connaître la paix. Où que nous tentions de nous échapper, les choses se produisent toujours de la même manière — c’est leur nature.
Tout apparaît, tout disparaît de Ajahn Chah:
En termes simples, ceci est la vérité. L’impermanence, la souffrance et l’absence de soi sont la nature même des phénomènes. Ils ne sont rien d’autre que cela, mais nous donnons aux choses bien plus de sens qu’elles n’en ont en réalité.
Méditation et sagesse: Les enseignements d’un maître bouddhiste de la Tradition de la Forêt Tome 1 de Ajahn Chah:
Pendant la méditation il n’y a aucun besoin de prêter attention aux impressions des sens. Chaque fois que l’esprit est affecté par une empreinte sensuelle, où que ce soit dans l’esprit, qu’il y ait un sentiment ou une sensation, lâchez prise simplement. Que ces sensations soient bonnes ou mauvaises est sans importance.
Vertu et méditation : Les enseignements d’un maître boudhiste de la Tradition de la Forêt Livre 1 de Ajahn Chah:
Vous les gens, vous voyez des hommes des femmes, beau, belles, gros, grosses, moches etc…. mois je ne vois que des cadavres animés en train de pourrir
Méditation et sagesse: Les enseignements d’un maître bouddhiste de la Tradition de la Forêt Tome 1 de Ajahn Chah:
De la même manière que vous êtes en train de pratiquer ici pour arrêter de penser et ainsi arriver à la paix. Il faut du calme pour commencer, s’il n’y a que de la pensée la sagesse n’apparaîtra pas, il n’y aura pas de conscience de la vérité. Tout ce qui va apparaître sera une prolifération sans fin. Si vous êtes déjà calme ce n’est pas nécessaire de penser, la sagesse apparaîtra à sa place. Tant que vous pensez, la sagesse n’apparaîtra pas.
Tout apparaît, tout disparaît : Enseignements sur l’impermanence et la fin de la souffrance de Ajahn Chah:
Il n’y a rien là qui exige un entraînement difficile. Par exemple, des parents préviennent un enfant qu’il ne doit pas jouer avec le feu : « Ne t’approche pas du feu, c’est dangereux, tu vas te brûler ! » L’enfant peut ne pas croire ses parents ou ne pas comprendre de quoi ils parlent mais, s’il touche le feu une seule fois et se brûle, ses parents n’auront plus besoin de lui expliquer les choses ni de le surveiller.
Tout apparaît, tout disparaît : Enseignements sur l’impermanence et la fin de la souffrance de Ajahn Chah:
Anicca, l’incertitude, est la vérité. La vérité est là, sous nos yeux, mais nous ne lui accordons pas un regard clair et direct. Le Bouddha a dit : « Ceux qui voient le Dhamma me voient. » Si nous voyons anicca — cette qualité d’incertitude — en toute chose, alors apparaîtront le détachement et le désintéressement par rapport au monde : « Oh ! Ce n’est que ceci. Bah ! Ce n’est que cela. Il n’y a là rien d’extraordinaire, ce n’est que cela.» L’esprit se stabilise dans cette réalisation : « Ce n’est rien d’extraordinaire. Bah ! »
https://www.inspirant.fr/ajahn-chah-limpermanence.html
avec metta
gigi
Ici et Maintenant pleine attention à la pleine conscience