J'ai trouvé cette définition sur un site.
Mais je pense que ça a un autre nom plus commun.
Qui le connait
(de Sakura Sensei )
...
Dogen est certainement le plus grand et le plus profond philosophe parmi les bouddhistes zen chinois et japonais. Il a montré l'importance des tâches quotidiennes les plus simples dans la pratique du zen (cette pratique se nomme : « kufû ») et est considéré comme le père du thé dont il serait l'importateur au Japon.
...
Deuxième précepte : ne pas faire de discrimination. Les paroles, les pensées et les actes sont tous à mettre sur le même plan, ont la même importance et méritent autant d'attention. Le plus humble détail est à considérer comme capital. Un grand maître du zen ne disait-il pas : « Lorsque vous faites quelque chose, faites-le comme si votre vie en dépendait. » S’il est une caractéristique particulièrement frappante de l’attitude du moine zen, c’est son application à réaliser chaque chose, aussi futile soit-elle, à la perfection, en y consacrant la totalité de son esprit (kufû). Cette pratique est considérée comme équivalente et aussi efficace que le zazen. Kufû fut la première pratique zen récupérée avec enthousiasme par les samouraïs, bien avant zazen, car la vie du samouraï était effectivement menacée en permanence. Or, kufû, a placé le samouraï dans un état d’éveil constant. Il devint quasiment impossible de le surprendre.
....
Mais je pense que ça a un autre nom plus commun.
Qui le connait
(de Sakura Sensei )
...
Dogen est certainement le plus grand et le plus profond philosophe parmi les bouddhistes zen chinois et japonais. Il a montré l'importance des tâches quotidiennes les plus simples dans la pratique du zen (cette pratique se nomme : « kufû ») et est considéré comme le père du thé dont il serait l'importateur au Japon.
...
Deuxième précepte : ne pas faire de discrimination. Les paroles, les pensées et les actes sont tous à mettre sur le même plan, ont la même importance et méritent autant d'attention. Le plus humble détail est à considérer comme capital. Un grand maître du zen ne disait-il pas : « Lorsque vous faites quelque chose, faites-le comme si votre vie en dépendait. » S’il est une caractéristique particulièrement frappante de l’attitude du moine zen, c’est son application à réaliser chaque chose, aussi futile soit-elle, à la perfection, en y consacrant la totalité de son esprit (kufû). Cette pratique est considérée comme équivalente et aussi efficace que le zazen. Kufû fut la première pratique zen récupérée avec enthousiasme par les samouraïs, bien avant zazen, car la vie du samouraï était effectivement menacée en permanence. Or, kufû, a placé le samouraï dans un état d’éveil constant. Il devint quasiment impossible de le surprendre.
....