l'oubli de lui-même et des dix mille réponses qui lui sont attachées.
"L'oubli des mobiles est la prospérité de la Voie du Bouddha."
Kaïkan a écrit:
Bonsoir Fred,
je suppose que tu te réfères à une expérience que tu as vécue nous sommes impatients de la connaître...
Fred a écrit:PS : J'attends que tu me dises quand tu l'auras oubliée
Kaïkan a écrit:Fred a écrit:PS : J'attends que tu me dises quand tu l'auras oubliée
J'ai oublié ce que je devais oublier... Est-ce que tu t'en souviens ?
Page 63
Dans les techniques des Patriarches et des maîtres, il est uniquement parlé de l'apaisement des mobiles et de l'oubli des opinions...
Bonjour Fred,
c'est quoi "des mobiles" ? c'est entendu dans quel sens ?
Mobile : Ce qui pousse à agir.
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/mobile/
- Lorsque quelqu’un te blesse, tu devrais l’écrire sur le sable afin que le vent l’efface de ta mémoire ...
Mais lorsque quelqu’un fait quelque chose de bon pour toi, tu dois l’écrire sur la pierre afin que le vent ne l’efface jamais."
Proverbe Touareg -
Kaïkan a écrit:
Bonjour Fred,
Faudra m'excuser mais j'ai oublié ce qu'est le CELA...
Tu t'en souviens peut-être ?...
fonzie a écrit:j'ai trouvé !
note 3 de la page 63
http://books.google.fr/books?id=LC2h5rHf3XcC&printsec=frontcover&dq=les+entretiens+de+houang&hl=fr&ei=qMq6Tp_TF83esgbd1PTNBg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&sqi=2&ved=0CC0Q6AEwAA#v=onepage&q&f=false
Les "mobiles" sont ici toutes nos bonnes raisons de ne pas nous éveiller.
Avant qu’une personne n’étudie le zen, les montagnes sont les montagnes, les eaux sont les eaux. Après un premier aperçu de la vérité du zen, les montagnes ne sont plus les montagnes, les eaux ne sont plus les eaux. Après l’éveil, les montagnes sont de nouveau des montagnes, les eaux de nouveaux des eaux.
Avant qu’une personne n’étudie le zen, les montagnes sont les montagnes, les eaux sont les eaux. Après un premier aperçu de la vérité du zen, les montagnes ne sont plus les montagnes, les eaux ne sont plus les eaux. Après l’éveil, les montagnes sont de nouveau des montagnes, les eaux de nouveaux des eaux.
.../...Plus près de nous, le maître japonais Manzan Dōhaku donna sa transmission à un seigneur nommé
Matsudaira qui n’était pourtant pas l’un de ses disciples attitrés. À l’occasion
d’une invitation, Matsudaira qui était versé dans la pratique et l’étude du Zen,
l’interrogea sur un passage du “Recueil de la falaise verte” (ch. Biyanlu ; jap.
Hekiganroku). En guise de réponse, Manzan se contenta de pointer son doigt, ce
qui avait immédiatement déclenché l’éveil (jap. satori) du seigneur. Manzan lui
conféra alors sa transmission.
http://www.zen-occidental.net/pdf/transmission.pdf