Trouver le responsable : "Qui ?"

 

Il y a toujours une troisième voie au-delà du blanc et du noir, de la Lumière et de l'Ombre, du Bien et du Mal, du Yin et du Yang...

Le sage sait donc que rien ne dure, ressent l'impermanence des choses et savoure l'instant présent...

Se fondre dans le Tao ne revient pas à n'être qu'une Goutte de Rosée qui disparaîtrait dans l'Océan mais à devenir l'Océan !

Hihi...
excusez-moi pour le Hihi perpétuel...
quelque part, si Dieu existe il ne peut être que joyeux...Hihi

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Dis-moi Fred

Entre le titre du sujet que tu ouvres et le discours que tu tiens, je ne vois pas vraiment le lien...
C'est quoi le "qui" ????
et pourquoi cherches-tu un "responsable" ????

Ceci dit, tu sais bien, que j'apprécie toujours ta présence, tel l'autre qui ne serait pas moi...quoi que...Hihi

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C'est marrant de voir que finalement la quiétude est silencieuse, et, que c'est en venant troubler ce silence que jaillit des instants spectaculaires...Hihi

Kaîkan n'a pas pu s'empêcher de laisser jaillir ce qu'il n'a pas pu maintenir...Hihi

Oui, Kaïkan, "Océan nous sommes" et c'est quelque part notre incertitude qui nous permet de le manifester...

Cet "Océan nous sommes" ressemble étrangement à l'image de l' asymptote qu'il m'arrive souvent d' évoquer...et vois-tu, à propos de l' "autre" dont parlait Lausm, il y a de curieuses synchronicités...

Cet Océan est tellement inaccessible par la raison qu'il est préférable de retourner à la quiétude silencieuse plutôt que de jeter un trouble...Hihi

Bonjour Tango,

Le "responsable", dit :

« Voici comment il faut faire pour être heureux, j’ai trouvé le secret » lorsqu’il est heureux,
et dit : « Qu’ai-je fait pour être si malheureux, et que dois-je faire pour retrouver ma joie » lorsqu’il est malheureux.

(Cela évoque peut être quelque chose à quelqu'un  )

Le responsable, c’est donc celui qui croit pouvoir retenir la joie et éloigner le mal être.

Investiguer dans le sens de connaître la vrai nature de ce "responsable" peut être intéressant.

J'ai proposé une piste de réflexion en disant :

"C’est comme si le premier (celui qui croit connaître les motifs de son bien être et pense pouvoir le retenir) se targuait d’être à l’origine du fait que l’eau coule d’amont en aval,
alors que le deuxième (celui qui croit connaître les motifs de son mal être et pense pouvoir y échapper ) se fustigeait d'être à l'origine du mouvement ascendant du feu."

Kaïkan à la suite de ceci a évoqué la Voie du milieu, qui ne tombe ni dans la prétention du premier
ni dans la fustigation du second, cette Voie trouvant sa direction entre "Ni retenir le bonheur, ni rejeter le mal être".

Merci. Je me retrouve complètement là dedans en ce moment...

Moi aussi.
C'est une façon de retrouver sa propre responsabilité sans en faire une tragédie.
Finalement ça aide pas mal.