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Les barbares soi disant bouddhistes.
Dans l'histoire Zen Gensha a laissé mourir son père (se noyer alors qu'il était dans une barque) par ce qu'il avait eu une illumination ce jour là que s'il l'avait sauvé, il n'aurait pas plus accomplir son destin de moine zen, car il aurait une autre vie à cause de son père, une vie de modeste pêcheur. C'est un sacrifice hautement estimable pour les maitre Zen, il a sacrifié son père pour la voie . C'est que l'on appel l'esprit de sacrifice japonais, la barbarie élevait au rang des honneurs, on comprend mieux pourquoi le zen a collaboré avec les génocidaires pendant la seconde guerre mondial. Il va s'en dire que ces types ne sont pas bouddhistes. Dogen le fondateur du zen était très fier de son disciple Gensha.
Ces gens ne sont pas estimables et cela ne sert à rien d'étudier les textes de Dogen qui était éveillé autant que je suis pâtre grec.
Publié il y a 6 days ago par Franck Bordas
Les quatre nobles vérités
Tous ce que nous expérimentons est impermanent, les sensations, le monde qui nous entour.
Tous les êtres vivants subissent l'insatisfaction, la souffrance à cause de cela.
la croyance que les phénomènes existent de façon isolés et autonomes sont causes de souffrance, ainsi que le désir et l'aversion.
La quatrième noble vérité est celle du chemin menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est le « noble sentier octuple » : vision correcte, pensée correcte, parole correcte, action correcte, profession correcte, effort correct, attention correcte et contemplation correcte.
la croyance que les phénomènes existent de façon isolés et autonomes sont causes de souffrances, comme il est dit dans les quatre nobles vérités, le chemin consistant a démontrer que nous n'existons pas indépendamment de ce qui nous entour et à l'admettre, est le chemin le plus rapide vers l'éveil et la cessation de la souffrance, c-a-d la fin des flux mentaux créé par l'attachement à un moi individuel qui est erroné, la fin des fermentations mentales qui créent les angoisses, la cessation des désirs créés par un égo qui disparaît. Il faut que ce soit en accord évidement avec la quatrième vérité.
Publié il y a 6 days ago par Franck Bordas
Transmission
La vrai transmission de maitre à disciple est de comprendre par ses propres moyens ce qu'on vous tente de vous proposer, pas d'entendre la logorrhée de quelqu'un assis sur son fauteuil, pas d'essayer de comprendre le sens d'un texte, c'est indispensable parce que seul la personne concerné est capable d'agir pour elle-même. C'est une transmission oral pour que ce ne soit pas le texte qui décide, pour que ce ne soit pas la lettre, mais l'esprit de la loi, pour que ce ne soit pas le mot mais le sens, pas celui de quelqu'un d'autre mais le vôtre, ce que vous aviez compris en ayant vérifié par vous même. Les langues et les cultures évolueraient, la compréhension de l'être humain resterait toujours la même tant que vous pouviez être encore capable de faire votre avis.
Si le discours nourrit le discours sans aucune expérience, cela est bien commode.
Tant que c'est les mots que l'on lit on ne réalise rien. L'intelligence c'est de se donner les outils pour comprendre, et pas d'observer le doigt qui montre la lune. Créer des outils est très intéressant car il permet de montrer cette lune. Mais il y en a qui on crut que grâce aux outils, ils pourraient se passer de l'expérience direct des choses, ils se sont trompés.
Publié il y a 6 days ago par Franck Bordas
Travail
Il n' y a que les imbéciles qui croient que réaliser l'éveil et l'enseigner est un travail de fainéant parce ce que cela n'est pas un travail physique, les mêmes imbéciles qui croient maintenant que l'éveil est un travail physique, et que parce qu'ils récurent des casseroles ou font n'importe qu'elle samu ils sont en train de réaliser l'éveil.
Méditer correctement demande infiniment plus de détermination, de patience, de relâchement et d'attention en même temps, ce qui est très dure, que de planter n'importe qu'elle clou. Méditer en se concentrant sur la respiration, tout ne créant pas d'attachement aux flux mentaux qui surgissent, qui peuvent provoquer autant de la souffrance que de la jouissance, tout en ne créant pas d'attachement à son corps, tout en s'apercevant que la souffrance qui apparait est crée par le jugement que l'on a de soi, des autres, ou de la réalité, comme étant de nature distincte de soi, réaliser que tout cela est en définitive de nature impermanente parce que cela n'a pas de soi, comme nous même, et ainsi...non mais je crois que l'on va trop loin, lol.
Les vrais agrégats
Un exemple de souffrance, vous dites à une personne que le message de Siddhartha a disparu qu'il est presque impossible de comprendre ce qu'il dit aujourd'hui, au fil du temps par dissolution du sens de base de la langue d'origine et par les déformations successives de l'interprétation de ce qu'il a dit. Vous voyez que la personne vous croit, et a de la souffrance dans son regard de savoir cela. c'est la souffrance crée par un des cinq agrégats, la connaissance. De ne pas comprendre nous pouvons éprouvé aussi de la souffrance.
Nous pouvons crée de la souffrance aussi par les formations volitionnelles, ce qui nait de notre inconscient, nous pensons que Nicolas Sarkosy est le meilleur président, chaque fois que l'on dit du mal de lui nous éprouvons de la souffrance, parce que nous sommes attachés à notre jugement, notre inconscient qui juge et nous fait souffrir. De discriminer crée aussi de la souffrance.
Si nous sommes attachés à notre manque d'apparence, ou à notre apparence nous souffrons.
Même si nous mangeons quelque chose, par le ressentie nous pouvons éprouver de la souffrance parce que nous sommes attachés à la bouffe, et le fait de ne plus en manger nous éprouvons de la souffrance, ou de trop manger aussi.
Nos absences de perception crée de la souffrance, un excès de perception en crée aussi.
Nous souffrons tous sur les mêmes choses, mais ce qu'il faut comprendre, c'est que nous sommes tous formés de ces 5 agrégats et c'est ce qui nous fait souffrir.
Un éveillé ne souffre plus parce qu'il n'est plus attaché a ces agrégats, alors tous s'est prétendu éveillé si en vous voyez un dans son regard qui souffre, il est juste en train de se foutre de votre gueule ou juste en train d'être dans son délire de mythomane.
A noté que cela n'a rien à voir avec le fait que si je vous donne un coup de pied vous ayez mal, ce qui est tout à fait normal. Parce que pour nos amis tibétains si on donne un coup de pied à un éveillé il n'a pas mal, ce qui est totalement ridicule. Il va sans dire que ces ânes ou plus globalement ces imposteurs ne comprennent rien aux cinq agrégats.
L'esprit mortel discriminant
Les éléments qui constituent les agrégats de notre personnalité et son monde objectif sont dépourvus de substance intrinsèque. Nous n'avons pas d'existence propre, notre activité du système mental provient de cette ignorance, de cette croyance en un moi, en une substantialité, en un âme, ou tout autre élément indépendant. Il n'y a pas de substantialité, nous sommes non né, l'activité de notre système mental provient de la discrimination que nous faisons d'une chose qui est non né, de cette ignorances, du désirs et des actes qui en découlent par le fait de percevoir de saisir et de s'attacher aux objets comme s'ils étaient réel, comme s'il avaient une substantialité alors qu'ils n'en n'ont pas. le système mental qui en découle est sources des écoulement mentaux par nos cinq sens et leur mentations sensorielles concomitantes en sont unifié par la pensée discriminantes. Une source continu de concept sensoriel s'épanche de notre esprit discriminant et pensant, recombine, discrimine, juge selon sa bonté ou sa méchanceté. Il s'ensuit une aversion ou un désirs pour les choses et un attachement aux actes, le système mental tout entier continue de cette façon de matière très compacte. Mais il échoue a comprendre ce qu'il voit, discrimine et saisit qu'une manifestation de sa propre activité et n'a pas d'autre base, et c'est ainsi que l'esprit continue de percevoir et de discriminer erronément les différences de formes et de qualités, sans rester tranquille ne fut-ce qu'une minute. Mais par cessation des mentations sensorielles, du système mental , on entend, non pas la cessation de leurs fonctions perceptives mais cessation de leurs activités discriminante et nominative de l'esprit, disparition des souillures causés par l'esprit par l'attachement, la discrimination, raisonnements erronés et actes consécutif. l'esprit mortel discriminant le monde de maya, l'illusion (comme l'absence de nature propre des phénomènes), et du désirs disparait tout entier, le nirvana est de se débarrasser de l'esprit mortel discriminant.
L'ignorance
L'ignorance est la cause de la souffrance, l'ignorance est de croire à l'existence d'un moi, hors cela est contraire à la vérité que tout les phénomènes sont interdépendants. La douleur, la lamentation, le chagrin, tristesse, désespoir, naissent de cette appropriation à un soi, hors tout est vides d'existence propre, c'est la vacuité. Cette appropriation à un soi est ce qui provoque un égo qui est cause de souffrance, l'attachement à un devenir, à une jouissance qui sont que des facteurs transitoires car tout est impermanent, est donc vide d'existence propre. Cette ignorance est cause de formation mentales qui naissent avec la conscience des six sens, ils créent des phénomènes physique et mentaux, qui créent un désirs un attachement, un devenir. Hors tout est vacuité, le soi n'existe pas, prétendre le contraire c'est créer un attachement un désir qui créait de la souffrance à un moment ou un autre. Cette appropriation à un soi crée un devenir, naissance, vieillesse mort et renaissance. l'être éveillé n'a plus de flux de penser crée par un ego, par l'ignorance qui croit à l'existence d'un soi. il n'a plus de devenir donc de renaissance. Il est dans le nibbana, il est comme une pièce chauffé à blanc qui refroidit instantanément par ce qu'il n'a plus de désirs crées par un moi.
Nirvana
Le nirvana est un état l'absence de fermentation mentale, c'est la croyance à l'existence d'un moi qui crée les perturbations mentales et physiques qui sont causes de la souffrance. tout étant interdépendant et conditionné, rien dans la nature n'existe de manière individuel. Il n'existe pas un soi qui soit une nature de bouddha, c'est l'absence de soi qui est nature de bouddha, qui est présent dans toute les créatures, dans tout l'univers.
Quand le bouddha dit je ne serais plus, il veut dire qu'il ne s'identifiera plus à une personne pas qu'il n'existerait plus, il ne faudrait pas confondre cela avec le nihilisme, l' attachement au moi est une mort perpétuelle, le nirvana c'est le contraire, il ne renaîtra plus. Une fois entrée dans le nirvana il est entièrement éteint par ce qu'il n'a plus de production mentales, cause de perturbations psychiques et de souffrance, il est comme un charbon que l'on essaye de bruler mais qui ne chauffe plus, car il n' y a plus rien que l'on puisse lui rattacher, parce qu'il n'y a plus de construction d'un moi qui crée cette illusion cette attachement, c'est la dissipation du Karma et des renaissances.