Maitre Yuyu , le vrai fleuron pour s'envoyer des fleurs en faisant du billard à trois bandes
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Yudo, maître zen
Kaïkan
Paul Muad'dib
Fred
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Stupeur et tremblements
Jabba the dégonflé !- Amateur
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- Message n°26
Re: Stupeur et tremblements
Paul Muad'dib- Débutant
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- Message n°27
Re: Stupeur et tremblements
zenoob tu as raison, je prend tout çà trop à cœur, mais c' est de la faute de yudo, c' est lui qui a commencé.
je peux pas résister à vous mettre une vidéo de mon chouchou, peut être que çà donnera envi à certain de le connaître davantage, c' est pas tous les jours qu' il y en a des comme lui.
je peux pas résister à vous mettre une vidéo de mon chouchou, peut être que çà donnera envi à certain de le connaître davantage, c' est pas tous les jours qu' il y en a des comme lui.
Fred- Animateur
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- Message n°28
Re: Stupeur et tremblements
Jabba a écrit:Maitre Yuyu , le vrai fleuron pour s'envoyer des fleurs en faisant du billard à trois bandes
Hello Jabbouille...
On dirait que tu as trouvé ta place bien au chaud près du bâton...Ne t'inquiètes pas, quoi qu'il arrive, tu auras au moins toujours ton ombre pour te prendre en pitié.
PS : Signé Fredouillot
Jabba the dégonflé !- Amateur
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- Message n°29
Re: Stupeur et tremblements
Fredouillot , ne sois pas douillet dans ton culot !Fred a écrit:Signé Fredouillot
Jabbouille n'a de couilles que dans la fripouille !
Fred- Animateur
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- Message n°30
Re: Stupeur et tremblements
Vous avez gagné Sieur Jabba : Tant pis pour vous
Jabba the dégonflé !- Amateur
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- Message n°31
Re: Stupeur et tremblements
en ce moment, c'est plutôt "stupeur et ébranlement" sur le forum . Décidemment, chez les zennistes , on redoute rien
Kaïkan- Admin
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- Message n°32
Re: Stupeur et tremblements
Jabba the dégonflé ! a écrit:en ce moment, c'est plutôt "stupeur et ébranlement" sur le forum . Décidemment, chez les zennistes , on redoute rien
Nous avons eu l’occasion de voir les lavandières qui lavaient le linge au lavoir municipal ou bien à la rivière et qui faisaient sécher le linge sur les buissons.
Bien sur l’été c’était peut-être agréable...
Mais l’hiver ou bien quand il fallait laver les langes des bébés où on devait faire bouillir le linge et bien c’était à la maison
Yudo, maître zen- Admin
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- Message n°33
Re: Stupeur et tremblements
J'ai eu, dans ma jeunesse impécunieuse, l'occasion de devoir laver mes draps au lavoir. je n'envie pas celles dont ç'avait été le boulot.
tangolinos- 無為 - mui -
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- Message n°34
Re: Stupeur et tremblements
Je me souviens, dans un village où habitait mon père, l' enfant que j'étais, pouvait entrer dans un lavoir sans perturber la joie de vivre des femmes du village qui plaisantaient tout en se racontant les anecdotes de leur vie au foyer...
Je me souviens aussi que leurs maris se retrouvaient au troquet pour l'apéro pour vivre un peu le même partage...
Sans vouloir ressembler aux vieux nostalgiques, je me retrouve bien contraint de m'interroger...
Je me souviens aussi que leurs maris se retrouvaient au troquet pour l'apéro pour vivre un peu le même partage...
Sans vouloir ressembler aux vieux nostalgiques, je me retrouve bien contraint de m'interroger...
zanshin- Modératrice
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- Message n°35
Re: Stupeur et tremblements
Et un petit moment de détente...
tangolinos- 無為 - mui -
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Date d'inscription : 04/05/2010
- Message n°36
Re: Stupeur et tremblements
Très zoli !!!...Hihi
ya pas à dire, y'en a qui arrivent à se laisser traverser par le son du silence qu'est l' Absolu non-manifesté mais qui toutefois est bien la source de toute inspiration...
merci encore pour ce choix...
ya pas à dire, y'en a qui arrivent à se laisser traverser par le son du silence qu'est l' Absolu non-manifesté mais qui toutefois est bien la source de toute inspiration...
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zanshin- Modératrice
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Emploi/loisirs : retraitée du corps médical (ordonnée nonne zen en 1984)
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Date d'inscription : 01/06/2013
- Message n°37
Re: Stupeur et tremblements
A défaut de stupeur il y a le tremblement
Tremblement :
Nom masculin.
Nom donné par les musiciens français du XVIIe et du XVIIIe s., à des « agréments » assez dissemblables, du genre du trille. D'après Mersenne (1636), il se notait, dans la musique de luth, par une virgule placée après la note, et s'exprimait par une inflexion à la seconde supérieure avec retour au son principal, ce qui est exactement le mordent des Italiens. La caractéristique du tremblement était qu'il « commençait par la note accidentelle ». Marpurg, en le notant, lui donne pour traduction ou pour synonyme l'italien trillo. Les signes le désignent.
L'Affilard (Principes, 1635) appelle tremblement subit un très court trémolo ou vibrato amenant le son final. Le Bègue (1677) en fait le synonyme de cadence et le marque par le signe en lui donnant pour effet le trille à la note supérieure. D'Anglebert (1689) lui conserve cette acception et le distingue de la cadence, trille précédé d'un grupetto; il le divise en tremblement simple, tremblement appuyé précédé d'un léger arrêt sur la note supérieure, tremblement et pincé, tremblement auquel succède une inflexion à la note inférieure, formant grupetto. Chez Couperin (1717), le tremblement, trille à la note supérieure, s'oppose au pincé, trille à la note inférieure.
Source → ici