Salut les copains !!!
suite à une longue période de silence, vous me revoyez revenir, aussi prétentieux que jamais à faire encore une tentative de dire l'indicible...Hihi
Disons que les mots ne peuvent servir que d' évocation, et ma douloureuse prétention m'incite à périlleusement revenir en ce lieu, avec comme idée qu'un pti battement d'aile de papillon à Paris puisse déclencher un orage à Tokyo...
J' espère donc que vous trouviez un certain écho dans le texte, ci-dessous, que je viens d'écrire ce jour...
merci de ne pas tenir compte de la logique de son déroulement, puisqu'il a été écrit d'un trait sans y revenir =
Le "rien" ou le "néant" semblent n'être finalement que des postulats inventés par l'homme pour assoir son raisonnement face à l'incompréhensibilité que les choses soient....
Il serait en effet plus compréhensible qu' il n' y ait rien...
Or ya des choses....et pour raisonnablement les appréhender, il est nécessaire de pouvoir postuler leur éventuelle absence...
Ce qui est surprenant c'est que ces choses qu'on a qualifiées de matérielles ne sont en fait pas matérielles du tout, puisque la science ne parvient toujours pas à localiser la particule ultime dans le vide infini que contient la soi-disante matière...
Ce qu'on peut retenir c'est qu'on arrive à se mettre d'accord sur l' existence de manifestations qui nous semblent communément réelles...
Pour revenir à l'ultime question que tout un chacun se pose= que suis-je ?
sommes-nous vraiment ce corps ???...ce corps qui sans arrêt renouvelle toutes ses cellules, alors que notre sentiment d'être nous semble contradictoirement plus permanent que sa manifestation...
Je dirais que la réalité nous échappe forcément, et qu'on ne peut que se contenter de l'interprétation qu'on s'en fait...
Face à toutes ces évidences, il m' est apparu la nécessité de m'engager sur une voie qui ressemblerait à celle d'un spéléologue qui s'enfoncerait dans le néant pour en percevoir la substance ultime...
Disons, que m'est apparue la nécessité de cheminer vers une explication absolue de la dure réalité relative qui se déploie sous nos yeux...
et je remercie tous les zenistes qui se sont engagés sur cette voie, et qui souvent arrivent à évoquer ce qu'intimement je ressens...
Certes ce cheminement n'est pas aussi aisé que ça, puisque le pèlerin est lui-même relatif, et que l' Absolu ne peut lui être qu'une limite abstraite, telle une asymptote inaccessible, tout au moins en tant que manifestation...
Au sujet de la permanence de l'impermanence; je dirais que certes les manifestations nous apparaissent impermanentes, mais ce qui est contradictoire c'est qu'il y a des lois permanentes qui les sous-tendent...
Telle la pierre qui tombe à chaque fois qu'on la lâche...
Disons que pour mon confort psychologique j'ai opté pour une vision du "Grand Un Absolu Permanent" qui pour se manifester chute dans la multitude des "petits uns relatifs impermanents"...
Aussi il m'apparait, de plus en plus, probable que nous soyons tous ce "Grand Un Absolu", et que nous assumions la manifestation singulière de l'une de ses facettes, avec pour précieux fardeau notre ignorance de notre véritable nature...
Disons que la marche à suivre est de savoir qu'on sait rien, et d' avancer comme si on savait...Hihi
suite à une longue période de silence, vous me revoyez revenir, aussi prétentieux que jamais à faire encore une tentative de dire l'indicible...Hihi
Disons que les mots ne peuvent servir que d' évocation, et ma douloureuse prétention m'incite à périlleusement revenir en ce lieu, avec comme idée qu'un pti battement d'aile de papillon à Paris puisse déclencher un orage à Tokyo...
J' espère donc que vous trouviez un certain écho dans le texte, ci-dessous, que je viens d'écrire ce jour...
merci de ne pas tenir compte de la logique de son déroulement, puisqu'il a été écrit d'un trait sans y revenir =
Le "rien" ou le "néant" semblent n'être finalement que des postulats inventés par l'homme pour assoir son raisonnement face à l'incompréhensibilité que les choses soient....
Il serait en effet plus compréhensible qu' il n' y ait rien...
Or ya des choses....et pour raisonnablement les appréhender, il est nécessaire de pouvoir postuler leur éventuelle absence...
Ce qui est surprenant c'est que ces choses qu'on a qualifiées de matérielles ne sont en fait pas matérielles du tout, puisque la science ne parvient toujours pas à localiser la particule ultime dans le vide infini que contient la soi-disante matière...
Ce qu'on peut retenir c'est qu'on arrive à se mettre d'accord sur l' existence de manifestations qui nous semblent communément réelles...
Pour revenir à l'ultime question que tout un chacun se pose= que suis-je ?
sommes-nous vraiment ce corps ???...ce corps qui sans arrêt renouvelle toutes ses cellules, alors que notre sentiment d'être nous semble contradictoirement plus permanent que sa manifestation...
Je dirais que la réalité nous échappe forcément, et qu'on ne peut que se contenter de l'interprétation qu'on s'en fait...
Face à toutes ces évidences, il m' est apparu la nécessité de m'engager sur une voie qui ressemblerait à celle d'un spéléologue qui s'enfoncerait dans le néant pour en percevoir la substance ultime...
Disons, que m'est apparue la nécessité de cheminer vers une explication absolue de la dure réalité relative qui se déploie sous nos yeux...
et je remercie tous les zenistes qui se sont engagés sur cette voie, et qui souvent arrivent à évoquer ce qu'intimement je ressens...
Certes ce cheminement n'est pas aussi aisé que ça, puisque le pèlerin est lui-même relatif, et que l' Absolu ne peut lui être qu'une limite abstraite, telle une asymptote inaccessible, tout au moins en tant que manifestation...
Au sujet de la permanence de l'impermanence; je dirais que certes les manifestations nous apparaissent impermanentes, mais ce qui est contradictoire c'est qu'il y a des lois permanentes qui les sous-tendent...
Telle la pierre qui tombe à chaque fois qu'on la lâche...
Disons que pour mon confort psychologique j'ai opté pour une vision du "Grand Un Absolu Permanent" qui pour se manifester chute dans la multitude des "petits uns relatifs impermanents"...
Aussi il m'apparait, de plus en plus, probable que nous soyons tous ce "Grand Un Absolu", et que nous assumions la manifestation singulière de l'une de ses facettes, avec pour précieux fardeau notre ignorance de notre véritable nature...
Disons que la marche à suivre est de savoir qu'on sait rien, et d' avancer comme si on savait...Hihi