http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/2017/11/un-francais-dont-90-du-cerveau-est-manquant-vit-normalement.html
d'après : https://qz.com/722614/a-civil-servant-missing-most-of-his-brain-challenges-our-most-basic-theories-of-consciousness/
Un français dont 90% du cerveau est manquant vit normalement !
Publié par Le Nouveau Paradigme sur 1 Novembre 2017, 23:14pm
Âgé de 44 ans, un français marié, père de deux enfants et employé dans l’administration vit une vie assez normale, à un détail près : sa boîte crânienne est quasiment vide. Un cas très particulier qui remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience.
Le cas particulier de ce français de 44 ans avait déjà fait l’objet d’une étude parue dans la revue The Lancet en juillet 2007. Tout a commencé par une petite douleur à la jambe gauche pour l’homme, qui s’est alors rendu à l’hôpital. Une IRM a alors étonné les médecins, qui ont remarqué que son cerveau est en fait rempli de liquide. Pourtant, l’homme vit tout à fait normalement, entre vie de famille et travail, et n’a aucun antécédent de trouble neurologique.
Il faut remonter à l’enfance de cet homme, lorsqu’il souffrait d’une maladie appelée hydrocéphalie, qui désigne une accumulation de liquide céphalorachidien dans le cerveau. Les docteurs lui ont alors implanté un petit tube pour évacuer le liquide vers d’autres parties du corps, lequel lui a été retiré à ses 14 ans. Visiblement, le liquide s’est à nouveau accumulé au fil des années.
Aujourd’hui, ce cas est remis à l’ordre du jour par le psychologue Axel Cleeremans de l’université de Bruxelles, pour qui le cas particulier de ce français remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience. « Aucune théorie n’explique comment une personne, dont 90% des neurones sont absentes, peut avoir un comportement tout à fait normal » déclare-t-il. En effet, son quotidien n’est en rien affecté alors que toutes les zones du cerveau qui contrôlent la sensibilité, la parole ou l’audition sont considérablement réduites.
Le psychologue belge avance alors une nouvelle théorie, qui est que si le cerveau n’est pas endommagé brutalement, mais petit à petit, l’organe reste capable de s’adapter. Des études en ce sens devraient être réalisées au cours des prochaines années.
d'après : https://qz.com/722614/a-civil-servant-missing-most-of-his-brain-challenges-our-most-basic-theories-of-consciousness/
Un français dont 90% du cerveau est manquant vit normalement !
Publié par Le Nouveau Paradigme sur 1 Novembre 2017, 23:14pm
Âgé de 44 ans, un français marié, père de deux enfants et employé dans l’administration vit une vie assez normale, à un détail près : sa boîte crânienne est quasiment vide. Un cas très particulier qui remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience.
Le cas particulier de ce français de 44 ans avait déjà fait l’objet d’une étude parue dans la revue The Lancet en juillet 2007. Tout a commencé par une petite douleur à la jambe gauche pour l’homme, qui s’est alors rendu à l’hôpital. Une IRM a alors étonné les médecins, qui ont remarqué que son cerveau est en fait rempli de liquide. Pourtant, l’homme vit tout à fait normalement, entre vie de famille et travail, et n’a aucun antécédent de trouble neurologique.
Il faut remonter à l’enfance de cet homme, lorsqu’il souffrait d’une maladie appelée hydrocéphalie, qui désigne une accumulation de liquide céphalorachidien dans le cerveau. Les docteurs lui ont alors implanté un petit tube pour évacuer le liquide vers d’autres parties du corps, lequel lui a été retiré à ses 14 ans. Visiblement, le liquide s’est à nouveau accumulé au fil des années.
Aujourd’hui, ce cas est remis à l’ordre du jour par le psychologue Axel Cleeremans de l’université de Bruxelles, pour qui le cas particulier de ce français remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience. « Aucune théorie n’explique comment une personne, dont 90% des neurones sont absentes, peut avoir un comportement tout à fait normal » déclare-t-il. En effet, son quotidien n’est en rien affecté alors que toutes les zones du cerveau qui contrôlent la sensibilité, la parole ou l’audition sont considérablement réduites.
Le psychologue belge avance alors une nouvelle théorie, qui est que si le cerveau n’est pas endommagé brutalement, mais petit à petit, l’organe reste capable de s’adapter. Des études en ce sens devraient être réalisées au cours des prochaines années.