Dans les "termes japonais" (à ne pas confondre avec les "Onsen"...
suite à la remarque privée de quelqu'un que je ne peux donc pas nommer ),
je me demandais ce qu'est la traduction de "terma" en japonais.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tert%C3%B6n
Je trouve intéressant que "Padmasambhava soit au Bouthan, associé au monastère "nid du tigre":
et que d'après la tradition, il serait venu là depuis le Tibet sur le dos de sa shakti, la dâkini Yeshe Tsogyal, qu'il a transformée en tigresse volante pour effectuer ce voyage."
Dans cette optique, Padmakara n'est autre qu'une manifestation humaine - un nirmanakâya (corps de manifestation) - du Bouddha Amitâbha qui, lui, est alors Bouddha en « corps absolu » (dharmakâya).
Ils forment ainsi une triade avec le bodhisattva Avalokitesvara, qui en est l'émanation en sambhogakâya (« corps de jouissance pour autrui »).
Ces trois manifestations représentent, chacune à leur manière, l'oeuvre universelle de Grande Compassion (mahâ-karuna) des Bouddhas qui s'exprime à travers la transmission des enseignements libérateurs.
et ça, je me demandais si ça avait un rapport avec la question de Fred, sur les bodhisattvas:
https://zen-et-nous.1fr1.net/les-questions-f9/retarder-son-entree-en-nirvana-t380.htm
suite à la remarque privée de quelqu'un que je ne peux donc pas nommer ),
je me demandais ce qu'est la traduction de "terma" en japonais.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tert%C3%B6n
Je trouve intéressant que "Padmasambhava soit au Bouthan, associé au monastère "nid du tigre":
et que d'après la tradition, il serait venu là depuis le Tibet sur le dos de sa shakti, la dâkini Yeshe Tsogyal, qu'il a transformée en tigresse volante pour effectuer ce voyage."
Dans cette optique, Padmakara n'est autre qu'une manifestation humaine - un nirmanakâya (corps de manifestation) - du Bouddha Amitâbha qui, lui, est alors Bouddha en « corps absolu » (dharmakâya).
Ils forment ainsi une triade avec le bodhisattva Avalokitesvara, qui en est l'émanation en sambhogakâya (« corps de jouissance pour autrui »).
Ces trois manifestations représentent, chacune à leur manière, l'oeuvre universelle de Grande Compassion (mahâ-karuna) des Bouddhas qui s'exprime à travers la transmission des enseignements libérateurs.
https://zen-et-nous.1fr1.net/les-questions-f9/retarder-son-entree-en-nirvana-t380.htm
"Pour l'école Nyingmapa - pour laquelle Padmakara a une importance toute particulière - cet enseignement culmine avec le Dzogchen, la « Grande Perfection », dont la pratique peut mener jusqu'à la manifestation d'un « corps d'arc-en-ciel », quand tous les éléments« grossiers » qui composent le méditant manifestent leur nature purement lumineuse.
Si le pratiquant se perçoit alors lui-même comme translucide et insubstantiel, les êtres ordinaires, toujours soumis à la vision illusoire, peuvent néanmoins continuer de le voir sous son apparence habituelle.
Le pratiquant ne « meurt » pas, au sens ordinaire du terme, et peut ainsi demeurer indéfiniment pour oeuvrer au bien de tous les êtres. Padmakara aurait lui-même réalisé un tel « corps ».
(...)
Chacun « redécouvre » ainsi un enseignement gardé secret, le plus souvent donné dans le langage symbolique des dâkinî, qu'il « traduit » pour le rendre accessible aux pratiquants. ..."
http://www.bouddhisme-universite.org/micro-hebdo-archives/micro-hebdo33.htm
"(...) Les trois volumes de la présente traduction française correspondent à ces trois étapes successives. Kunzang Palden aborde le poème de Shantideva dans le langage traditionnel des commentateurs tibétains du passé en se référant aux enseignements de son maître, lequel était alors l’une des plus hautes autorités en la matière. Les stances de la version tibétaine du poème, retraduites pour l’occasion à la lumière de ce commentaire, ont été le plus possible calquées sur l’original dont le style souvent laconique, voire ambigu, recèle des trésors de pensée (...)".Editions Padmakara
Si le pratiquant se perçoit alors lui-même comme translucide et insubstantiel, les êtres ordinaires, toujours soumis à la vision illusoire, peuvent néanmoins continuer de le voir sous son apparence habituelle.
Le pratiquant ne « meurt » pas, au sens ordinaire du terme, et peut ainsi demeurer indéfiniment pour oeuvrer au bien de tous les êtres. Padmakara aurait lui-même réalisé un tel « corps ».
(...)
Chacun « redécouvre » ainsi un enseignement gardé secret, le plus souvent donné dans le langage symbolique des dâkinî, qu'il « traduit » pour le rendre accessible aux pratiquants. ..."
http://www.bouddhisme-universite.org/micro-hebdo-archives/micro-hebdo33.htm
"(...) Les trois volumes de la présente traduction française correspondent à ces trois étapes successives. Kunzang Palden aborde le poème de Shantideva dans le langage traditionnel des commentateurs tibétains du passé en se référant aux enseignements de son maître, lequel était alors l’une des plus hautes autorités en la matière. Les stances de la version tibétaine du poème, retraduites pour l’occasion à la lumière de ce commentaire, ont été le plus possible calquées sur l’original dont le style souvent laconique, voire ambigu, recèle des trésors de pensée (...)".Editions Padmakara