Claude
Nous sommes ici sur un forum zen
Ce qui veut dire pour moi, que seul le cheminement de la voie du milieu intéresse les lecteurs
Que tu sois venu faire ta pub soit !
ça nous a appris qu'il y avait une autre image à éventuellement pouvoir contempler.
Et je t'en remercie.
Mais ton site est beaucoup plus détaillé et présente mieux ton produit.
Puisque tu es là, tu me donnes un prétexte à l'expression.
Mais avant de lire, saches qu' ici les croches-pieds sont autorisés, et que chacun doit y retrouver la joie.
Quand tu écris:
"Je suis un homme. Mon raisonnement et ma définition du foetus humain sont objectifs parce qu'ils ne sont pas troublés par des instincts maternels."
J' y vois:
1/ que tu dis que la femme serait troublée par ses instincts...
alors que moi, je préfèrerais entendre une femme le dire.
et je m'interroge...ne serais-tu pas toi aussi troublé par tes instincts ?
2/ que tu es persuadé que la raison est supérieure à l'intuition,
alors que moi j'estime que l'intuition devance la raison, et que la raison n'est là que pour remédier à l'intuition perdue.
Il me semble même probable que l'abus de raison fasse disparaître l'intuition. Ce qui expliquerait l'expansion du matérialisme.
3/ tu affirmes être un homme,
sais-tu seulement ce qu' est un homme?
N' aurait-il pas moins d'intuition que la femme ?
et ne voudrait-il pas imposer sa raison ?
"La croyance à l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains dépénalise l'avortement et libère la femme de toute culpabilité."
Tu dis bien "croyance"...qui déculpabiliserait...
"Alors que choisir ? Oeuvrer pour la matérialité ou pour la métamatérialité ?"
Là tu tronques la question.
Tu laisses sous-entendre que la métamatiere serait la seule alternative spirituelle.
Que Dieu puisse s'appréhender, soit, mais que l'image pour le dire doive être imposée, NON !
On en a mare de ces croyances en des images que l'on imposerait.
Combien de guerres pour des images, combien de morts ? et pas des foetus !
Si le passé ne nous sert pas d'enseignement, pour envisager l' avenir, le présent serait absurde.
En m'excusant pour les maladresses "instinctuelles", que tu pourrais encore voir dans mon texte, ce ne seraient que des croches-pieds à travers lesquels il s'agirait de retrouver la joie.