La vrai sagesse ( suivi de Fable)

La vrai sagesse est sans égo. Pour écrire la caverne de Platon il ne faut pas avoir d'ego pour comprendre que les ombres sur la parois ne sont que des illusions. En sortant de la caverne ou il est enchainé pourra-t-il accepté ce qu'il y a dehors et expliquer aux autres prisonniers que ces ombres ne sont qu'une illusion du feu allumé derrière eux ? et qu'ils sont trompés par leur sens. Cela montre le difficile accès à la connaissance et le rejet que l'on peut s'attendre quant on l'expose aux autres. Quant on exprime un ego, un devenir, un soi on fait fausse route. Le vrais philosophe qui parle de sagesse ne s'encombre pas de cela. Le véritable bodhisattva fait sienne la sagesse d'où qu'elle vienne. Pour être un véritable éveillé il ne faut pas se contenter de s'assoir sur un cousin et méditer, il faut autre chose.

Franck
merci pour la porte que tu ouvres au partage.
il s'agit bien là de la difficulté à l'expression de l'inexprimable.

quelque part pour faire sien l'objet observé, il faut effacer son ego.
mais pour le transmettre l'ego réapparait.

Un peu comme dans la méditation, là où tu deviens un avec metta, en effaçant ton ego.
Et dès que tu sors de cet état de fusion avec la totalité,
tu reviens à l' état de la dualité de toi face à la totalité.

Pour dépasser cette dualité, il ne s'agit pas de s'identifier ni à la totalité ni à l'ego.
L' expression serait influencée, par l'attitude résultante de cette identification.
Il s'agirait alors d'agir au centre, en toute sérénité.

La vérité sur le rire, laissez moi vous la dire

La vraie sagesse doit regarder ce qu'est la vérité de sa sagesse, cela pour cette chose qui n'est pas encore définie, ou pour rien du tout, c'est possible aussi. Et, justement parce que c'est possible nous y allons parce que la peur disparaît et laisse place à ce que dit très bien Nietzsche : "Ange deviennent tes démons", et nous pouvons cotoyer la MORT, ce mot.........Ce mot qui comme un aimant attire ce que l'on ne veut pas voir et que justement nous ne voyons pas, ces choses qui ne sont que du vent lorsqu'elles sortent de leur gangue et ne finissent par laisser paraître qu'un souffle, une fine poussière de conscience, car oui, la conscience est poussière, on nous a dit poussière d'étoile mais c'est à nous de découvrir le fabuleux trésor de Racam le Rouge, tu vois ce que je veux dire?

Le trésor ?
quand la fine poussière s' estompe et disparait, ressurgit la source de la réalité infinie.
La mort se retourne sur la vie.
La vie meure pour renaître, comme les vagues, comme une ondulation dans l'univers infini.
Le flux...le souffle du flux...le flux...

Le rire ?
quand une dualité trouble la béatitude, et que la raison ne sait faire,
la dualité se trémousse pour disparaitre.
La raison s'efface, pour que la béatitude ressurgisse.
La béatitude peut alors regarder une autre dualité.

Je vais vous racontez une histoire, c’est l’allégorie de la caverne de Platon, des gens étaient attachés avec une chaine dans une grotte avec un feu et croyaient que leurs ombres reflétés sur la paroi par le feu correspondaient à la réalité, un des prisonnier s’est libéré en l’occurrence Siddhartha, puis est allé à l’extérieur de la grotte, il est revenu pour raconter aux prisonniers ce qu’était en vérité la réalité, la plupart l’ont pris pour un fou, quelques un l’ont cru et se sont libérés. Quelques temps plus tard des prisonniers ont écrit un livre sur cette histoire, quelques un l’ont lu et ont cru distinguer sur les ombres de la paroi de la grotte ce qu’avait vu Siddhartha à l’extérieur, depuis ils racontent que c’est cela, en l’occurrence c’est vous.

Franck Barron a écrit:Je vais vous racontez une histoire, c’est l’allégorie de la caverne de Platon, des gens étaient attachés avec une chaine dans une grotte avec un feu et croyaient que leurs ombres reflétés sur la paroi par le feu correspondaient à la réalité, un des prisonnier s’est libéré en l’occurrence Siddhartha, puis est allé à l’extérieur de la grotte, il est revenu pour raconter aux prisonniers ce qu’était en vérité la réalité, la plupart l’ont pris pour un fou, quelques un l’ont cru et se sont libérés. Quelques temps plus tard des prisonniers ont écrit un livre sur cette histoire, quelques un l’ont lu et ont cru distinguer sur les ombres de la paroi de la grotte ce qu’avait vu Siddhartha à l’extérieur, depuis ils racontent que c’est cela,

..................................................................c'est mieux comme ça...!

Il a y en même qui disent qu'il est inutile de briser ses chaines parce qu ils ont vu la réalité à travers ces ombres. D'autres dés qu'ils ont vu ces ombres ils se sont détachés.