Bonjour Lumpinee,
je sais pas si t'as lu dans "
incertitudes et pratique du zen", ce qui a été dit sur "
le témoin qui observe et ne juge pas", parce que je trouve que ton "expérience" ressemble à celle de fleur de cerisier, tout en étant différente parce que sous une autre forme, une forme différente.
Et je pense qu'on ne trouve "étrange" que ce qui n'est pas habituel, c'est peut-être pour ça que quand un individu n'a pas les mêmes habitudes ou les mêmes coutumes qu'un groupe, on dit qu'il est étranger.
Il me semble qu'il y a aussi un point commun entre les cartes et les rêves, c'est la possibilité de les interpréter.
Alors il y a une chanson avec des paroles et des notes de musique, mais la même chanson en fonction de l'interprète peut faire monter au septième ciel celui qui écoute ou lui casser les oreilles avec toutes les nuances entre les deux, c'est le problème de l'interprète.
Personnellement des fois je m'étonne à chanter juste et d'autres fois je chante comme une casserole, donc comme je sais jamais trop comment ça va sortir, j'évite de chanter en public.
Qui aurait cru que les psychanalystes et les cartomancien(nes) ne sont pas si différents ?hahaha !
Une fois n'est pas coutume^^ je vais risquer à chanter en public et dire sur ton rêve que je trouve qu'il parle beaucoup de "voir", et que "se trouver à deux endroits en même temps", c'est un peu comme le chiasma optique ("partie du cerveau où les deux nerfs optiques se croisent"). Et imaginer que le cerveau droit et le cerveau gauche ne sont pas séparés, que c'est le même cerveau, c'est un peu comme dire que le jour et la nuit ne le sont pas non plus.
(A part le troisième oeil, qui aurait cru que les yeux avaient le don d'ubiquité ? (je plaisante encore, là !))