Je vous propose mon petit ouvrage sur le zen au format .pdf disponible ici :
http://www.steffzen.com/experiencedelavoie-lezen/
Il relate mon expérience du zen et ma vision de celui-ci de façon simple et directe.
Bonne lecture, merci !
N'avez-vous pas oublié un huitième point, nécessaire au bonheur et même tout simplement vital comme les autres points, à cette liste?steffzen a écrit: Les vrais objets de bonheur ne se réduisent pourtant qu'à sept points essentiels qui sont :
-Respirer
-Manger
-Boire
-Déféquer
-Uriner
-Dormir
-Assurer la survie de l'espèce par la sexualité
En y réfléchissant bien, on constate que ces sept facteurs suffisent pour ne pas être malheureux ou en manque. Tout le reste n'est que futilité répondant à un sur-besoin ou un désir animé par l'égo et qui par nature n'est jamais satisfait !
Respirer, manger, boire, déféquer, uriner, assurez la survie de l'espèce par la sexualité sont aussi des facteurs naturellement présents par causalité, pourtant vous les avez cités! Donc, est-ce à dire que tous ceux que vous ne citez pas ne sont pas nécessaires au bonheur?steffzen a écrit:Comme tout est inter-relation, interdépendance, je crois que c'est un facteur naturelement présent par causalité et des érmites survivent sans cela
Pensez-vous que l'amour pour l'humanité, pour son prochain soit un bonheur relatif du quotidien?steffzen a écrit: Ceci pour montrer que audelà de ces bonheurs relatifs du quotidien, on peut actualiser un bonheur plus absolu en revenant à l'essentiel déjà présent et qui n'oblige pas la course éffrénée de l'égo.
Si cet état est naturel, pourquoi tant de gens ne sont pas dans le bonheur (souffrent)? C'est donc bien qu'il faut qu'ils ajoutent à respirer, manger, boire, uriner, déféquer et se reproduire -qu'ils ont naturellement mais dont ils ne contentent pas- quelque chose puisque respirer, manger, etc... ne suffit pas à leur bonheur.steffzen a écrit:Arrivé, cela ne doit pas etre une pratique mais un état, la compassion n'est pas dirigée vers son prochain mais vers soi même devenu UN, c'est donc un état naturel et qui bien que très logique, n'est pourtant pas obligatoire.
Un bodhisattva fait du bodhisattva, il n'y a que les bouddha qui sont bouddha!steffzen a écrit: Se mètre en action dans cette pratique est un acte volontaire dualiste. Un bodisattva ne "fait" pas du bodisattvisme, il "est" bodisattva
Peut-être on peut considérer que je cherche la petite bête. Mais dans mon esprit il me parait important de dire que le bonheur ne peut se réduire à respirer, manger, etc, sans y ajouter -explicitement- l'amour ou la compassion bienveillante. Même si je comprends bien que dans le contexte de l'ensemble tu mets cela en rapport avec l'abandon de l'ego.steffzen a écrit: Il n'y a que les bouddhas qui sont de vrais bodisattvas
Tu charche la petite bête sur des mots qui ne sont qu'un petit extrait d'un ensemble, le livre.
Il s'adresse à tout le monde, donc du contenu peut paraitre Hynayana mais si la plupart des gens du monde moderne de consomation capitaliste gardent en tete au quotidien ces principes, ça ferait déjà du bien.
C'est la juste une méthode proposée quand on s'emporte dans la course de l'égo, revenir volontairement à ces points essentiels pour se recentrer, c'est une pratique qui aide au détachement.
Il y a eu méli-mélo entre les posts !steffzen a écrit:Tout le livre porte sur l'égo justement , pas dans cette phrase ? Ha merde alors !
Un bodisattva n'est pas quelqun qui fait veux de devenir bouddha, c'est un étre d'éveil qui n'a de cesse de mener tous les êtres au nirvana par compassion, c'est en cela que les bouddhas sont les plus aptes.