La perfection est la tranquillité dans le désordre.
Zhuangzi
tangolinos a écrit:Je dirais que la traduction est erronée ( Yudo pourra nous en dire plus )Fred a écrit:"Lorsque l’esprit connaît la tranquillité, il soumet l’univers entier."
Zhuangzi
Il me semble qu'une fois l'esprit tranquille, il n' a plus qu'une seule intention, celle de suivre le Tao.
Autrement dit, l'idée de soumettre quoi que soit, n'est pas sa préoccupation.
Kaikan a écrit:La perfection est la tranquillité dans le désordre. Zhuangzi
Frédérique a écrit:tangolinos a écrit:Je dirais que la traduction est erronée ( Yudo pourra nous en dire plus )Fred a écrit:"Lorsque l’esprit connaît la tranquillité, il soumet l’univers entier."
Zhuangzi
Il me semble qu'une fois l'esprit tranquille, il n' a plus qu'une seule intention, celle de suivre le Tao.
Autrement dit, l'idée de soumettre quoi que soit, n'est pas sa préoccupation.
Je ne sais si la traduction est erronée, mais c'est très fort de sens.
Peut-être dans l'idée de soumission que la traduction est erronée ? dans "il soumet l'univers entier" car il y a une notion de force, d'obligation ?
tous les enfants sages et donc obéissants, savent que tôt ou tard, ils auront un bonbon...Fred a écrit:J'entends plutôt le verbe "soumettre" employé ici, dans ce sens que lorsque la tranquillité serait trouvée, l'univers entier se mettrait spontanément au diapason. Donc j'y vois une notion d'harmonisation.
Fred a écrit:J'entends plutôt le verbe "soumettre" employé ici, dans ce sens que lorsque la tranquillité serait trouvée, l'univers entier se mettrait spontanément au diapason. Donc j'y vois une notion d'harmonisation.
dans le sens que ce qui prime est la tranquillité dénuée de toute intention...peu importe qu'elle porte ses fruits ou pas...La perfection est la tranquillité dans le désordre.
Zhuangzi
Fred a écrit:"Lorsque l’esprit connaît la tranquillité, il soumet l’univers entier."
Zhuangzi
Kaîkan a écrit:Quand l'esprit se soumet à la tranquillité, il s'harmonise avec l'univers entier.
Kaïkan
Kaïkan a écrit:
Bonsoir à tous et particulièrement à ceux qui suivent la pensée (et l'au-delà de la pensée) de Tchouang-tseu ou Zhuangzi, de son vrai nom Zhuāng Zhōu, un penseur chinois du IVᵉ siècle .
Ne rien dire
(...)
C’est la raison pour laquelle Zhuangzi nous le dit :
"celui qui sait ne parle pas; celui qui parle ne sait pas. […...] Le saint pratique un enseignement sans parole."
https://zen-et-nous.1fr1.net/t742-zhuangzi#13430 a écrit:"(...)Selon Zhuang Zi, l'homme doit donc faire en sorte que son action ne perturbe pas le développement spontanée des choses et événements, ce qui a parfois poussé les observateurs antérieurs à utiliser le terme de non-action (wuwei) pour qualifier cet idéal.
TARA a écrit:
Si ce n'est pas le cas, lis le et tu verras que certaines roses n'ont pas d'épines et que meme si certaines ont des épines il s'agit tout simplement de les ceuillir là où elles n'en n'ont pas, toutes choses dans la vie où la mort peuvent etre douleureuses il suffit de savoir les ceuillir.