Sylvie,
Il y a la vacuité originelle et universelle qui est la nature véritable des phénomènes. Cette vacuité originelle s'exprime par sa propre forme, les phénomènes interdépendants, soumis à la loi de causes à effets interliées, le karma et donc impermanents.
Il y a donc dans l'absolu l'unité parfaite, la source originelle, vacuité. Il y a sa forme, les phénomènes perçus illusoirement de façon dualiste.
La vérité est Vacuité/Forme et non l'un sans l'autre, ils sont le même ! Cela.
Il y a donc la Voie de l'octuple sentier JUSTE. Cela se traduit par connaitre la source originelle, vacuité, sans en faire du nihilisme de sa forme, les phénomènes. Donc un bouddha, bien que sachant pertinament que tout est vide et que tout est un, ne néglige pas la dualité des phénomènes, l'interactivité karmique et donc s'emploi à pratiquer la justesse vis à vis de la forme car il connait la réelle nature de toute chose.
La vacuité n'est pas le néant et pourtant la forme est UNE, c'est ça le nirvana, l'expérience "formelle" de la vacuité dans toute son expression.
Tuer quelqun n'a aucune conséquence dans l'absolu mais dans la forme c'est une réalité karmique; ainsi bien que le bouddha connaisse la nature vide d'une areignée, il ne l'écrase pas. La pratique de la justesse est en soi la voie de la connaissance, la pratique par excelence ! Faire zazen et déconner hors du Dojo ce n'est pas zazen, être le bouddha au quotidien sans jamais faire zazen, c'est zazen. Etre bouddha au quotidien et faire zazen, c'est sympa.
Il y a la vacuité originelle et universelle qui est la nature véritable des phénomènes. Cette vacuité originelle s'exprime par sa propre forme, les phénomènes interdépendants, soumis à la loi de causes à effets interliées, le karma et donc impermanents.
Il y a donc dans l'absolu l'unité parfaite, la source originelle, vacuité. Il y a sa forme, les phénomènes perçus illusoirement de façon dualiste.
La vérité est Vacuité/Forme et non l'un sans l'autre, ils sont le même ! Cela.
Il y a donc la Voie de l'octuple sentier JUSTE. Cela se traduit par connaitre la source originelle, vacuité, sans en faire du nihilisme de sa forme, les phénomènes. Donc un bouddha, bien que sachant pertinament que tout est vide et que tout est un, ne néglige pas la dualité des phénomènes, l'interactivité karmique et donc s'emploi à pratiquer la justesse vis à vis de la forme car il connait la réelle nature de toute chose.
La vacuité n'est pas le néant et pourtant la forme est UNE, c'est ça le nirvana, l'expérience "formelle" de la vacuité dans toute son expression.
Tuer quelqun n'a aucune conséquence dans l'absolu mais dans la forme c'est une réalité karmique; ainsi bien que le bouddha connaisse la nature vide d'une areignée, il ne l'écrase pas. La pratique de la justesse est en soi la voie de la connaissance, la pratique par excelence ! Faire zazen et déconner hors du Dojo ce n'est pas zazen, être le bouddha au quotidien sans jamais faire zazen, c'est zazen. Etre bouddha au quotidien et faire zazen, c'est sympa.