Je rencontre un gros problème, actuellement, votre sagesse peut m'éclairer et m'aider.
Bien accueillie, par hasard, dans un endroit sympa, j'étais tombée sur une personne que j'aimais bien, mais on s'est heurté bêtement sur des préjugés. Entre-temps, j'ai sympathisé avec d'autres personnes en partageant divertissements, points communs, solidarité. Puis avec la première personne cela s'est amélioré petit à petit en dialoguant. Amitié naissante...
Mais je me suis rendue compte à la longue, récemment, qu'il y a des personnes dans mon entourage qui ne veulent pas lâcher prise vis à vis de moi. Ils ne respectent pas ma distance, mes choix ou essaye constamment de me détourner de ma voie. Cela par des moyens fourbes, malhonnêtes, hypocrites. Enfin, surtout, un. Simplement parce que j'ai été gentille, charmante, et compatissante, sensible à leur souffrance, qui ne m'étais pas étrangère, même familière; l'une de ces deux personnes a été insistante mais tend à s'assagir. Mais j'ai toujours l'autre sur les talons, à la moindre occasion. toujours présente, elle cherche à avoir une emprise sur moi, ma communication, mes relations. Passe bien du temps à juger, dénigrer les personnes que j'apprécie, avec qui je suis bien, mes goûts, ou mon mode de vie, ma situation, mes aspirations.
Si on ne veut pas donner plus que ce qu'on a donné. En s'étant raviser, en s'en tenant à une limite amicale, l'autre n'a pas à chercher à prendre par tous les moyens, ce qui n'est pas donné, sous divers prétextes, comme une sorte d'acquis ou de dû. C'est comme une histoire de tarte aux pommes. Bref, cette personne ne semble pas supporter que je ne sois pas aller au delà de la simple amitié, sans plus.
Il n'assume pas ses négativités, erreurs, et responsabilités.
Ce monsieur parle souvent de liberté, de grands espaces mais seule sa liberté compte pour lui. Il prétend vouloir mon bonheur mais ne me donne que surcroît de souffrance, à mon fardeau. s'octroie comme un droit sur moi. Se croit tout permis de prendre beaucoup de liberté chez les autres. Elle agit en toute impunité, là où elle est n'est pas visible, de façon indirecte ou sournoise, distillant, égrènant son poison ici et là. Utilisent les nouveaux venus qui ignorent l'histoire, comme des alliés et toutes ces vieilles ficelles relationnelles. Jusqu'à faire passer mon ami pour le méchant, le manipulateur, en le dénigrant derrière son dos, indirectement ou de façon invisible pour m'influencer. Il m'a parfois diabolisé créant des hostilités autour de moi. Mais il joue parfois l'ami, le bon pote, changeant selon l'humeur, quand la joie le dérange. Il a été jusqu'à traiter mon ami de voleur, alors qu'il n'a rien volé et que c'est moi qui me suis détournée intuitivement de lui. Je suis attérée par le personnage. C'est une injustice de faire passer mon ami pour le méchant ( même s'il est imparfait ). Au contraire, il a veillé sur moi, justement, au lieu d'avoir suivi le mouvement. je ne pouvais plus m'exprimer sans reçevoir un jugement de valeur ou une critique personnelle, des petits sarcasmes et sous entendus, blessants, dévalorisants ou rabaissant. A travers moi, il fait souffrir les autres; Il impose ses vues à longueur de temps et ses opinions douteux auprès de mon entourage. Il sait habilement user de son influence. C'est une tactique bien rodée. Imposteur, usurpateur probablement. J'ai douté de toutes aide extérieure, parfois dans la confusion de tout ça. Je pensais même " donner ce qu'il voulait " pour avoir enfin la paix. Je ne voyais les choses qu'au fur et à mesure, je ne savais plus quoi faire pour me défendre, ni à qui me fiez. Il parvient toujours à se calmer au bon moment et à se rallier les gens qui le protègent parfois à leur insu ou volontairement parceque ça sert leurs intérêts. il profite du dilemme, et ça le rend intouchable.
si cette persoone avait été sincèrement bienveillante envers moi, elle respecterait ma liberté, mes décisions, mes choix et ma voie. Car vouloir me contrôler à un effet néfaste sur ma confiance en moi. Je ne le supporte pas cela me rend malade d'angoisse. le problème est que du coup, j'ai même fini par être désagréable à mon ami. Pressante et précipitée en voulant renforçant la relation. la situation est devenu pénible, usante. J'ai essayé de m'en défaire mais maladroitement, à force d'agaçement, de blessures, de colère, de chagrin. J'ai été pourtant patiente, compréhensive, indulgente, en essayant de préserver le peu d'amitié, avec ce qui est devenu "mon harceleur". Mais aussi bien culpabilisée, découragée devant la complaisance des autres. Quoique certains ne se laisse pas prendre à son manège.
Cèdant à l'énervement parfois, j'ai agis dans la provocation. Ou bien je l'ai ignoré. En vain.
Je ne vois plus mon ami à cause de tout celà. Certains s'en réjouissent d'autres non, qui l'aimait bien... Et de toutes façons toutes tentatives d'amitié est avortée par la situation, comme une pousse, ou une éclosion écrasée immédiatement. C'est une nuisance, une pollution systématique. Cela pourrit des ambiances mais il dit que c'est les autres ( ou moi... )Cet individu donne une image idéale et positive à toute la galerie; De bonne humeur quand ça va dans son sens. Je pense qu'il était comme ça déjà avant. Bien-sûr, il a des côtés sympathiques et attachants, mais il souffre, aveuglé depuis longtemps par la haine. Il semble faire une vengeance personnelle. Je me sens l'origine de l'origine du problèeme, mais pas la cause véritable totalement, comme si se payait à travers moi,des vieux pots cassées, des vielles rancoeurs. Comme si j'étais un bon paillasson. ça me pourrit la vie, mes proches, en tous lieux.
Je culpabilise énormément et j'ai une immense peine. Je m'en veux d'avoir été faible et naïve, peu prudente, d'avoir manqué de discernement et d'équanimité.
Je ne m'attendais pas à de telles complications non plus. J'espèrais voir venir de la sagesse et de la compassion, de la comprehension. j'ai mis du temps à le cerner, à voir tout le puzzle, et à y croire de mes yeux; J'étais fatiguée souvent. J'ai fortement déprimé. Cela épuise mon énergie ces luttes quotidiennes ou chroniques et j'en ai besoin por la discipline, la réflexion et la méditation. Cela entrave mon évolution sur le chemin. Sans la méditation et la persévérance de ma pratique, je n'aurai déjà pas tenu jusque-là et cela aurait pu être pire. Mais je me sens quand même à bout de forces. Je veux l'arrêter pour qu'il ne fasse pas pareil à d'autres, qu'il y ait enfin une vraie paix, pas en surface. Et qu'il ouvre les yeux sur lui-même, trouve enfin sa voie.
Que puis-je faire de mieux ? dans ce tourment, rester zen ? Qu'en pensez-vous ? Avez-vous des lumières sur ce problèmes ?
Merci.
Non, je ne regarde pas trop la tv...