Bonjour,
Il y'a quelque temps, je me suis assis sur la plage, normalement sans adopter une quelconque posture particulière, juste adossé à un mur, les jambes détendues, pour manger un sandwich. Celui-ci terminé, alors que je n'avais rien à faire de particulier, il m'arriva de sentir le besoin de me lever et de partir, de faire des choses, sans savoir précisément lesquelles. je sentis comme une forme de pulsion qui m'enjoignait à vouloir remplir le temps par des activités quelle qu'elle soient. Et puis soudainement je me suis apaisé, j'ai vu tous ces mouvements de mon esprit qui cherchaient à remplir le vide et par contraste, je me suis aperçu comme pour la première fois de ce que voulais dire être juste assis, ben oui, j'étais là, juste assis et être juste assis ne me suffisait pas.
Pourquoi est-ce que je parle de cette expérience, parce que lorsque nous faisons zazen, nous sommes dans une démarche où l'assise est centrale en quelque sorte, mais lorsque nous sommes juste assis comme cela, sur un banc par exemple, ou à quelque endroit qu'on puisse imaginer, que nous ne sommes pas dans cette démarche, alors nous pouvons oublier qu'être dans de telles situations, c'est aussi l'occasion d'être juste assis... Pour dire, alors que je me trouvais à vouloir sauter d'une branche à une autre comme un singe fou pendant que j'étais fasse à la mer, les fesses dans les galets, j'en suis arrivé à me dire qu'il faudrait quand même que j'aille faire zazen
La posture de zazen, c'est être juste assis dans une posture idéale.
Et le kolomo est là pour nous rappeler que savoir se contenter d'être simplement assis sans rien attendre c'est actualiser la plus haute dimension de l'esprit.
Il y'a quelque temps, je me suis assis sur la plage, normalement sans adopter une quelconque posture particulière, juste adossé à un mur, les jambes détendues, pour manger un sandwich. Celui-ci terminé, alors que je n'avais rien à faire de particulier, il m'arriva de sentir le besoin de me lever et de partir, de faire des choses, sans savoir précisément lesquelles. je sentis comme une forme de pulsion qui m'enjoignait à vouloir remplir le temps par des activités quelle qu'elle soient. Et puis soudainement je me suis apaisé, j'ai vu tous ces mouvements de mon esprit qui cherchaient à remplir le vide et par contraste, je me suis aperçu comme pour la première fois de ce que voulais dire être juste assis, ben oui, j'étais là, juste assis et être juste assis ne me suffisait pas.
Pourquoi est-ce que je parle de cette expérience, parce que lorsque nous faisons zazen, nous sommes dans une démarche où l'assise est centrale en quelque sorte, mais lorsque nous sommes juste assis comme cela, sur un banc par exemple, ou à quelque endroit qu'on puisse imaginer, que nous ne sommes pas dans cette démarche, alors nous pouvons oublier qu'être dans de telles situations, c'est aussi l'occasion d'être juste assis... Pour dire, alors que je me trouvais à vouloir sauter d'une branche à une autre comme un singe fou pendant que j'étais fasse à la mer, les fesses dans les galets, j'en suis arrivé à me dire qu'il faudrait quand même que j'aille faire zazen
La posture de zazen, c'est être juste assis dans une posture idéale.
Et le kolomo est là pour nous rappeler que savoir se contenter d'être simplement assis sans rien attendre c'est actualiser la plus haute dimension de l'esprit.