L'esprit sans limite est le koan.
Je regarde droit devant moi.
Que voyez-vous ?
C'est assez clair pour que je continue à le faire.
Le chien en a quatre.
Kaïkan a écrit:
Hyakujô cherchait un moine capable de diriger un nouveau monastère. Il dit à ses élèves que celui d'entre eux qui répondrait le mieux à une question serait désigné.
Il plaça une cruche pleine d'eau au sol au milieu de la pièce et demanda :
- Qui peut me dire ce qu'est ceci, à part me dire que c'est une cruche ?
Le moine Supérieur se risqua :
- Personne ne pourrait dire que c'est une sandale de bois !
Isan, le simple moine cuisinier, ne dit rien. Il renversa la cruche... et sortit !
Hyakujô sourit et dit au moine Supérieur :
- Tu as perdu !
Isan fut nommé maître du nouveau monastère.
Fred a écrit:Une explication
fonzie a écrit:
je m'interroge pourquoi Hyakujô dit au Supérieur "tu as perdu !" ?
fonzie a écrit:
je m'interroge pourquoi Hyakujô dit au Supérieur "tu as perdu !" ?
je crois que Zenoob a dit le "docteur", pas le coiffeurYudo, maître zen a écrit:Chan-tao rappelle le maître à la politesse en lui enjoignant de présenter le couteau correctement, par l'autre bout.
Mais le maître le prend au mot, littéralement, et lui demande ce qu'il va bien pouvoir faire de l'autre bout, qui ne coupe pas. Car l'idée, c'est de couper les branches qui dépassent.