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Disons qu'en fait, le zen, en tant que produit assez japonais, est un terreau fertile à des visions apocalyptiques : quand on vit sur une île qui est une pétaudière prète à chaque instant à nous sauter à la gueule, avec un passif assez violent, le rapport à la mort (qui est assez fataliste, je trouve, là-bas), n'est pas qu'optimiste.
Je pense qu'on n'importe pas qu'une pratique, mais l'inconscient qui sous tend son langage.
Et qu'il est temps de le remettre en cause.
Les visions catastrophistes me lassent, me bouffent.
Le suicide de ma mère et mon oncle m'ont assez formé à l'impermanence, dès 16 ans, et mon boulot m'expose à cela. Hormis l'aspect éveillant sur la réalité, j'arrive aujourd'hui à un point où la paix et le bonheur me paraissent plus nécessaires que la rage et la furie, et qu'on peut apprendre ça sans se vautrer dans de l'angoisse permanente, ni une violence perpétuelle.
Et que ce n'est pas baba cool planant que de vouloir vivre tranquille et heureux.
Je pense qu'on n'importe pas qu'une pratique, mais l'inconscient qui sous tend son langage.
Et qu'il est temps de le remettre en cause.
Les visions catastrophistes me lassent, me bouffent.
Le suicide de ma mère et mon oncle m'ont assez formé à l'impermanence, dès 16 ans, et mon boulot m'expose à cela. Hormis l'aspect éveillant sur la réalité, j'arrive aujourd'hui à un point où la paix et le bonheur me paraissent plus nécessaires que la rage et la furie, et qu'on peut apprendre ça sans se vautrer dans de l'angoisse permanente, ni une violence perpétuelle.
Et que ce n'est pas baba cool planant que de vouloir vivre tranquille et heureux.
. Depuis, il est passé mais ne s'est (étrangement) pas manifesté sur le topic qu'il a lui-même "innocemment" pondu. 
