Bonjour,
Comment avez-vous vécu ou vivez-vous la mort d'un proche compagnon ? Si vous l'avez vécu évidemment.
Comment avez-vous vécu ou vivez-vous la mort d'un proche compagnon ? Si vous l'avez vécu évidemment.
c'est un peu comme ce qu'a dit à contrario la grand-mère quand je me faisais une idée sur la tristesse de mon amie B. que je ne comprenais pas, qui pourrait aussi se mettre en parallèle avec toutes nos idées qu'on pourrait éventuellement se faire de la vacuité ou de toutes autres choses:Frédérique a écrit:S'il apparaît dans l'Esprit une singularité aussi infime qu'une particule, aussitôt une distance infinie sépare la Terre et le Ciel
Shin Jin MeiYudo, maître zen a écrit:
C'est la réalité elle-même quand on la voit pour ce qu'elle est, autrement dit quand on la voit "vide" des concepts qu'on s'est fait sur elle.
(...)
"L'Espace" (虎空, Koku)
(...)
Un maître zen demande à un autre maître zen: "Sais-tu comment saisir l'espace?"
L'autre répond: "Ouaip!"
Le premier dit: "Okay, gros malin, fais voir comment tu fais."
L'autre fait le geste de saisir de l'air avec sa main.
Le premier dit: "C'est pas comme ça qu'on fait, frimeur!"
L'autre répond: "Okay, fais voir comment tu fais, toi, puisque t'es si malin!"
Le premier maître zen attrape le nez de l'autre par les narines et lui tire dessus comme dans un sketch de Laurel et Hardy.
L'autre gueule: "Aïe, aïe, aïe, ça fait mal! Mais je crois que j'ai saisi."
Tout en essuyant la morve du nez de l'autre maître de ses doigts, le premier dit: "En saisissant directement comme ceci, t'aurais dû l'avoir compris dès le départ."
Frédérique a écrit:
Je m'interrogeais sur la souffrance et sa place dans la Voie, une ambiguïté sur la compréhension des choses et la douleur, j'ai eu le sentiment de comprendre, puis de tout perdre, un va et vient...