Voici un texte qui je pense ne manquera pas d'intéresser les pratiquants.
Le texte en entier : http://www.revue3emillenaire.com/blog/aspects-physiologiques-du-zazen/
Extrait :
Le niveau postural
Une constatation s’impose d’emblée : sur le plan de la stabilité, aucune autre posture assise n’est aussi solide que le lotus (ou le demi-lotus). Cette qualité avait déjà été reconnue dans le yoga primitif et l’on en trouve des descriptions dans les plus anciens textes indiens pour la pratique de la méditation. En effet, dans cette position, les membres sont agencés de façon à ce que le tronc puisse maintenir la position verticale avec une base d’appui au sol large, le centre de gravité étant très bas et au milieu du triangle formé par les deux genoux et les fesses. Sur cette base se dresse la partie supérieure du corps dont l’équilibre peut être facilement contrôlé, les muscles antigravitaires ayant la possibilité de corriger toute oscillation autour de la verticale. Ce contrôle est d’autant plus strict qu’il n’y a pas de réajustement d’équilibre dû aux mouvements, et que l’architecture squelettique (membres et colonne vertébrale) se trouve dans une disposition stable.
Le texte en entier : http://www.revue3emillenaire.com/blog/aspects-physiologiques-du-zazen/
Extrait :
Le niveau postural
Une constatation s’impose d’emblée : sur le plan de la stabilité, aucune autre posture assise n’est aussi solide que le lotus (ou le demi-lotus). Cette qualité avait déjà été reconnue dans le yoga primitif et l’on en trouve des descriptions dans les plus anciens textes indiens pour la pratique de la méditation. En effet, dans cette position, les membres sont agencés de façon à ce que le tronc puisse maintenir la position verticale avec une base d’appui au sol large, le centre de gravité étant très bas et au milieu du triangle formé par les deux genoux et les fesses. Sur cette base se dresse la partie supérieure du corps dont l’équilibre peut être facilement contrôlé, les muscles antigravitaires ayant la possibilité de corriger toute oscillation autour de la verticale. Ce contrôle est d’autant plus strict qu’il n’y a pas de réajustement d’équilibre dû aux mouvements, et que l’architecture squelettique (membres et colonne vertébrale) se trouve dans une disposition stable.