Bonjour à tous,
Il y a une chose (parmi tant d'autres ! ) que j'ai du mal à saisir dans le zen. C'est le fait de pouvoir toujours penser aux autres.
je donne un exemple que j'ai entendu ce week-end lors d'une pratique, deux nonnes avaient beaucoup donnés aux autres, l'une se dévalorisait car elle pensait ne pas avoir assez donné alors que ce qu'elle avait fait était très bien, et l'autre avait des problèmes de santé et avait aussi fait énormément pour les autres mais devait penser à elle pour se reposer.
je n'ai pas bien compris ce que voulait dire la personne qui relatait les histoires de ces deux nonnes, car dans notre culture on parle énormément de "burn out" d'aller trop loin, de donner trop, de ne pas faire attentions aux signaux d'alarme de notre corps, psychisme etc...
et dans le zen j'ai l'impression que c'est une trés bonne chose de donner beaucoup, et je le comprends même dans le sens où il faut penser aux autres avant de penser à soi.
c'est certainement une mauvaise compréhension de ma part, mais je voulais un éclairage car c'est mauvaise compréhension me révolte profondément !
je ne vois pas comment (en tant que thérapeute) je pourrais dire à une personne maltraitée de pardonner à son agresseur , ou bien de penser aux autres plutôt qu'a elle quand elle s'oublie et se met de côté et donc en danger...
bref , je préfère vous laisser répondre...
merci
Il y a une chose (parmi tant d'autres ! ) que j'ai du mal à saisir dans le zen. C'est le fait de pouvoir toujours penser aux autres.
je donne un exemple que j'ai entendu ce week-end lors d'une pratique, deux nonnes avaient beaucoup donnés aux autres, l'une se dévalorisait car elle pensait ne pas avoir assez donné alors que ce qu'elle avait fait était très bien, et l'autre avait des problèmes de santé et avait aussi fait énormément pour les autres mais devait penser à elle pour se reposer.
je n'ai pas bien compris ce que voulait dire la personne qui relatait les histoires de ces deux nonnes, car dans notre culture on parle énormément de "burn out" d'aller trop loin, de donner trop, de ne pas faire attentions aux signaux d'alarme de notre corps, psychisme etc...
et dans le zen j'ai l'impression que c'est une trés bonne chose de donner beaucoup, et je le comprends même dans le sens où il faut penser aux autres avant de penser à soi.
c'est certainement une mauvaise compréhension de ma part, mais je voulais un éclairage car c'est mauvaise compréhension me révolte profondément !
je ne vois pas comment (en tant que thérapeute) je pourrais dire à une personne maltraitée de pardonner à son agresseur , ou bien de penser aux autres plutôt qu'a elle quand elle s'oublie et se met de côté et donc en danger...
bref , je préfère vous laisser répondre...
merci