Note de Leela
Ce fil est composé au début de posts venant d'un autre fil, où ils étaient hors-sujet. Je me suis permise de supprimer les messages répétitifs et de compléter avec des éléments de réponses qui sont restées de l'autre côté pour que la suite ait un sens.
Faudrait-il se réjouir de la souffrance des autres ou y être émotionnellement indifférent si on ne doit pas en souffrir soi-même?
Souffrir parce que les autres souffrent c'est naturel (pour celui qui a de l'humanité ou du coeur en lui). Quelle mère ne souffrirait pas si son enfant souffre?
C'est de souffrir et de ne rien faire qui ne sert à rien.
Ce fil est composé au début de posts venant d'un autre fil, où ils étaient hors-sujet. Je me suis permise de supprimer les messages répétitifs et de compléter avec des éléments de réponses qui sont restées de l'autre côté pour que la suite ait un sens.
Non, c'est la compassion tout court.Leela a écrit:Souffrir parce que les autres souffrent, c'est la compassion chrétienne, ça fait très chic, mais cela ne sert strictement à rien.
Faudrait-il se réjouir de la souffrance des autres ou y être émotionnellement indifférent si on ne doit pas en souffrir soi-même?
Souffrir parce que les autres souffrent c'est naturel (pour celui qui a de l'humanité ou du coeur en lui). Quelle mère ne souffrirait pas si son enfant souffre?
C'est de souffrir et de ne rien faire qui ne sert à rien.