Il y'a aussi le point de vue genre, "sans origine", par exemple :
Regarder dans le puit pour voir s'il est plein.
Regarder dans le puit pour voir s'il est plein.
je salue la vérité; (et je demande de la patienceKaïkan a écrit:naitsirhc a écrit:la seconde plus rare, est l'acceptation du conflit paradoxal, alors le mental va développer le troisième éveil, donc extirper le soi de l'existant et réaliser sa destruction à travers la compréhension des quatre nobles vérités.
Bonjour,
Autre point de vue :
Il n'y a en fait rien de spécial à extirper, mais en sortant de l'emprise de l'ahamkara par la compréhension juste des skandhas (les cinq agrégats), seulement s'unir à l'ordre naturel en lâchant prise...
" La véritable essence, c'est la méditation, qui consiste à se regarder soi-même. De l'intérieur. (.)
Assis en zazen, on laisse les images, les pensées, les formations mentales, surgissant de l'inconscient, passer comme nuages dans le ciel - sans s'y opposer, sans s'y accrocher.
Comme des ombres devant un miroir, les émanations du subconscient passent, repassent et s'évanouissent.
Et l'on arrive à l'inconscient profond, sans pensée, au-delà de toute pensée, vraie pureté. (.)
Simplement assis, sans but, ni esprit de profit, si votre posture, votre respiration et l'attitude de votre esprit sont en harmonie, vous comprenez le vrai zen, vous saisissez la nature de Bouddha."
Taisen Deshimaru, Questions à un Maître Zen, Ed.Retz