TARA a écrit:
Je ne comprends toujours pas pourquoi meme si le zen dans sa pratique est noir, rigide, dur, on n'y intègre pas sourrir, amour, attention et respect, pourquoi la rigidité est synonyme d'échanges sans chaleur!
On n'y intégre pas sourire amour attention et respect, car le zen n'est pas noir, rigide, ni dur.
On n'a pas besoin de demander de l'amour quand on en est nourri.
Ce zen dont tu parles n'est pas le vrai zen : c'est juste une erreur d'interprétation.
A Phi : si certains émettent leurs critiques sur le net, c'est peut-être parce qu'ils ne peuvent pas les dire là où ils pratiquent.
Pour ma part, j'ai sympathisé avec certains par ces forums, ils ne cessent pas d'exister en mon coeur même quad l'écran s'éteint. Car ce n'est qu'un écran, et je sais que l'écran n'est pas ce qu'il y a derrière....mais il permet de s'y relier, ce qu'il y a quinze ans on n'aurait jamais pu faire.
Sache que j'ai par ces forums, aidé quelqu'un prèt à arrèter toute pratique, car dans son dojo on le discriminait parce qu'il disait ce qu'il pense, qui rejoin ce qu dis Tara, et d'autres.
Et je confirme aussi : j'ai été viré d'un groupe, en toute irrégularité (aucune réunion, aucune possibilité de s'exprimer, mais courrier en recommandé avec AR quand même, au nom des grands chefs). Ceci piloté pâr un ponte actuel du bouddhisme français que je ne nommerai pas. Mais de cela j'ai découvert tout l'aspect politique de tout ça, et mon options est simple: ils n'auront plus un sou de moi, plus un samu, ils ne méritent pas tout ça alors qu'ils n'accordent aucune valuer au pratiquants et à ses efforts, ils ne savent m'écrire que pour solliciter ma cotisation alors que personne n'a répondu à mon courrier quand j'ai dénoncé ma situation. Donc pour moi les choses sont très claires, et je me permettrai de critiquer à l'aune d'avoir pratiqué des années là dedans pour en finir là.
Si seulement j'étais un cas isolé, mais ils se multiplient, et le terme "sectaire" est en train de fleurir sur de plus en plus de lèvres à propos de ces gens là, qui veulent surtout la sécurité de leur position de pouvoir. Et ils se ramasseront, et commencent à se ramasser.
Ils ont raison de ne pas se défendre : on pourrait en apprendre d'autres!
Tu parles de ces gens qui n'ont aucune critique les uns sur les autres : c'est si facile d'avoir des attitudes nobles devant tout le monde! Passe derrière le rideau, et tu verras! Si tu regardes bien dans un bistro, jamais personne ne se dit alcoolique, ni ne dit ses potes alcooliques! Cela s'appelle le déni! et le déni, c'est simplement aux antipodes de regarder la réalité telle qu'elle est.
Alors libre à toi de penser que ce n'est pas bien de critiquer : certes, la critique pour elle- même n'amène nulle part.
Par contre quand il s'agit de lever le voile sur de profondes souffrances individuelles, et il y en a, je t'assure, là il ne faut pas garder le silence.
Car le silence, la non critique, c'est ce qui fait le jeut des manipulateurs de tout poils, violeurs en série, escrocs, etc....qui tant qu'on n'ose les dénoncer continuent leurs exactions.
Et tout ça m'a montré que le monde, s'il est lieu de la Voie, n'est pas lieu d'absence de passions humaines.