Zen et nous

Le zen, sa pratique, ses textes, la méditation, le bouddhisme, zazen, mu

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    Les sept principes de Dõgen commentés par Maître Deshimaru

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    Message par Kaïkan Sam 9 Jan 2010 - 20:00

    Les sept principes de Dõgen commentés par Maître Deshimaru

    Les sept principes de Dõgen commentés par Maître Deshimaru Zen2_b11

    Butsu kojo no homon, au-delà de Bouddha est la porte du Dharma. Il ne faut pas être limité par Dieu ou Bouddha ni par les sutras, la Bible ou les préceptes. La vraie liberté existe dans notre esprit, au-delà de Dieu ou de Bouddha. Telle est la vraie religion.

    Par AZI

    Premier principe

    Shu sho ichi nyo
    Zazen et satori sont unité

    Shu : shugyo, la pratique, zazen ; sho, satori ; ichi nyo, sont unité, non séparés.

    Sho n’existe pas après shu. Le kanji shu a deux sens : apprendre, étudier et réparer, revenir à l’origine, à l’originel. Shu se rapporte au comportement, aux actions, à l’entraînement. Dans le bouddhisme Hinayana comme dans les arts martiaux, on s’exerce, on s’entraîne pour arriver à l’esprit saint.

    Shu : retourner à l’origine. Le corps et l’esprit retrouvent leur condition normale. Le kanji sho, satori, a beaucoup de sens. Le professeur Suzuki le traduit par illumination, mais le vrai sens est s’éveiller, remarquer, prendre conscience, comprendre la vérité. Lorsque l’esprit est clair, sho devient alors une certification. Sho, le satori, peut jaillir à partir de pensées mauvaises ou bonnes. Je répète toujours que, durant zazen, il faut aller de pensée en non-pensée, de non-pensée en pensée. Telle est la conscience hishiryo.

    Shu, la pratique de zazen, touche non seulement votre propre personne mais aussi les autres. Faire zazen pour les autres. Durant zazen, vous devenez unité avec vos voisins. Tel est le véritable bouddhisme Mahayana. Zazen lui-même est Bouddha. Shu sho ichi nyo. Les kanji sont souvent difficiles à traduire. Par exemple, le kanji dojo est souvent traduit par église, c’est erroné. Il vaut mieux garder dojo mais les idiots réclament toujours des traductions. Shu sho ichi nyo. Shu et sho sont unité. Sho existe durant shu.

    Deuxième principe

    Sho butsu ichi nyo
    Sho, tous les êtres vivants, toutes les existences vivantes

    Le kanji sho signifie vivant ; butsu : Bouddha ; ichi nyo : sont unité. Les êtres sensibles et Bouddha sont identiques, nous-mêmes et Bouddha sommes semblables.

    La religion de Dogen diffère du bouddhisme et de toutes les religions, selon lesquelles Dieu et nous sommes complètement différents, séparés et en dualité.

    Shin jin funi : le corps et l’esprit ne sont pas deux. Les êtres sensibles et Bouddha sont unité.

    Qui fait zazen ? Bien sûr, c’est moi. Qui êtes-vous ? À la fin, il n’y a pas de noumène. Toutes les existences sont sans noumène. Elles deviennent ku. Ku, ici et maintenant, devient les phénomènes. C’est mujo, tout change sans cesse. L’on devient parfois Bouddha, parfois un ivrogne, un obsédé sexuel, un fou, un prisonnier. On est tour à tour stupide et intelligent.

    Dans la philosophie et la religion européennes, le dualisme règne pour l’éternité. Dieu et le démon ne peuvent être en unité. Dans le bouddhisme, Bouddha et le démon peuvent être amis et être en unité.

    Troisième principe

    Shoden no buppo
    Le vrai bouddhisme transmis

    Shoden no shobo. Shoden, la vraie transmission ; shobo, le vrai Dharma de la vraie transmission, la transmission de shikantaza. Za, zazen. Ta, frapper, toucher. Le vrai bouddhisme est seulement zazen.

    Après une grande conférence, le Bouddha Shakyamuni fit tourner une fleur entre ses doigts. Seul Mahakashyapa sourit. Le Bouddha Shakyamuni lui transmit le véritable Dharma en lui remettant son kesa.

    Shoden no buppo est le monde de la vérité. On sépare toujours le monde de la vérité et celui des phénomènes.

    Qu’est-ce qu’étudier la Voie, le zen ? Faire zazen, shikantaza, au-delà de la conscience personnelle. Lorsqu’on fait zazen, le corps-esprit devient le cosmos lui-même, et inversement. Tel est le véritable shoden no buppo, l’essence du zen, l’essence des religions.

    Kyo, contrôler. Si on contrôle avec le corps, l’esprit et la respiration, on retrouve la condition normale et on devient unité avec le cosmos. À ce moment-là, l’esprit devient Bouddha lui-même.

    Quatrième principe

    Jijuyu zanmai
    Le samadhi de zazen

    Jijuyu veut dire accepter, recevoir par soi-même ; zanmai, le samadhi. Le samadhi est reçu par soi-même, seul. On peut seul en recueillir la joie. Les autres ne peuvent pas le comprendre. Le samadhi du zen, c’est hishiryo. C’est un point très important par rapport aux autres religions où cette notion n’existe pas. Hishiryo est le vrai samadhi, l’authentique joie. Si l’on fait zazen, à ce moment-là, on peut atteindre le vrai kaku soku.

    Qu’est-ce que kaku soku ? Parfois, il est difficile de donner une traduction juste. Maître Kodo Sawaki parlait souvent de kaku soku. Kaku est très important. Kaku, l’intuition. Soku, toucher. Comprendre par le toucher, le sentir, l’être.

    Je dis toujours, si vous pratiquez zazen, votre zazen lui-même est Dieu ou Bouddha. Inutile de penser : « Je dois me connecter avec le cosmos. » Durant zazen, ce lien s’établit automatiquement à travers le corps et l’esprit, même si des pensées personnelles apparaissent. En faisant zazen, vous pouvez devenir jijuyu zanmai. En vous rasant, en revêtant le kesa et le kolomo, en pratiquant zazen, vous suivez le véritable Dharma et devenez jijuyu zanmai.

    Jijuyu zanmai. Abandonner l’ego, suivre l’ordre cosmique. Ainsi, la vie prend une valeur véritable. Si l’ego et le cosmos sont en harmonie, on ne tombe pas malade et le corps devient fort comme celui d’un lion ou d’un tigre. Les gens qui attrapent froid sont comme des grenouilles. Elles n’ont pas assez de force sous le nombril. Je remarque que durant zazen, chacun de vous est très malin. Vos postures se développent. Vous devenez des saints. Mais en sortant du dojo, on revient vite à la condition anormale et on tombe dans le monde des phénomènes, du social, du vulgaire. Si la direction de l’esprit est erronée, même si vous continuez zazen jusqu’à votre mort, ce n’est pas efficace.

    Cinquième principe

    Kyo gyo sho itto
    L’enseignement, la pratique et le satori sont unité

    Kyo gyo sho itto. Kyo, enseignement ; gyo, pratique ; sho (comme dans shu sho), satori, sagesse, compréhension ; itto (analogue à ichi nyo) , unité. Enseignement, pratique, satori n’existent pas séparément et ne sont qu’une seule et même chose.

    Dans les religions, on retrouve presque toujours cette notion de trinité. Le christianisme s’appuie sur la Bible, le bouddhisme sur les sutras. La Bible et les sutras sont kyo. Mais l’essentiel est la pratique, gyo. La littérature, les romans sont uniquement faits pour être lus . Si on devait les réaliser, cela de viendrait démoniaque. Tandis que si on suit la Bible ou les sutras, on ne commet pas d’erreur et on peut devenir une personne sainte. Sho, le satori, apparaît.

    Kyo gyo sho itto, pratique, sagesse, satori ne sont pas séparés. Il n’y a pas d’intervalle entre kyo, gyo et sho, pas de différence. Il n’y a pas de satori, sho, sans kyo gyo. Il n’y a pas de kyo, gyo, sans sho. Ils sont unité. Sans cette unité, il n’y a pas de religion. Malheureusement, les religions les séparent souvent.

    Sixième principe

    Butsu kojo no homon
    Au-delà de Bouddha

    Bien que Bouddha soit l’idéal de notre démarche dans la vie quotidienne, il ne faut pas y être trop attaché. Il faut être au-delà de Bouddha. Trop d’attachement fait qu’on le sépare de soi et ainsi devient-il un objet extérieur. Nous devons devenir Bouddha lui-même qui existe dans notre corps et notre esprit.

    Dans presque toutes les religions, Dieu ou Bouddha est un objet de foi auquel les gens sont trop attachés. Une telle attitude dénote un esprit erroné. Dans la conscience et le cerveau se crée alors un dualisme entre soi et l’objet de la foi. L’unité est rompue. Cela ne signifie pas qu’il ne faille pas respecter Bouddha, mais il ne faut pas en dépendre. Agir avec un esprit mushotoku, sans but ni profit, est l’attitude la plus exacte.

    Ici et maintenant, nous devons trouver Dieu ou Bouddha en nous-mêmes, devenir Bouddha. La statue de Bouddha, même placée dans le dojo, n’est qu’une sculpture. N’y soyez pas trop attachés. Lorsque je rentre dans le dojo et que je fais sanpai, je m’incline certes devant la statue de Bouddha, mais surtout pour vous qui êtes devenus des bouddhas vivants. Par les sanpai, une unité se crée entre tous les disciples et la force cosmique. Lorsque le disciple étale son zagu et qu’il touche celui du maître, c’est le symbole de i shin den shin de la communication parfaite, de l’unité entre maître et disciple.

    Butsu kojo no homon, au-delà de Bouddha est la porte du Dharma. Il ne faut pas être limité par Dieu ou Bouddha ni par les sutras, la Bible ou les préceptes. La vraie liberté existe dans notre esprit, au-delà de Dieu ou de Bouddha. Telle est la vraie religion.

    Septième principe

    Shin jin ichi nyo
    Corps et esprit sont unité

    C’est un point très important. Le corps et l’esprit ne sont pas séparés, contrairement à ce qu’avait dit Descartes, influençant la médecine jusqu’à nos jours. Les médecins n’étudient que le corps, mais la plupart des maladies proviennent de l’esprit. Les docteurs l’ignorent et n’étudient que les organes.

    La pratique de zazen est semblable à l’image du cheval de course : « Pas d’homme sur la selle, pendant la course. Sous la selle, pas de cheval. » C’est un koan. Il n’y a pas de cheval sous cette selle. Il n’y a pas non plus de cavalier. Le jockey, le cavalier comprend qu’il doit diriger le cheval avec les rênes et les pieds. Il doit aussi comprendre l’esprit du cheval. La selle, c’est zazen. hishiryo. Hi signifie au-delà. Il est semblable à ku, l’infini. Dans le zen Soto, l’ultime secret est shin jin ichi nyo. Le corps et l’esprit sont unit ichi nyo. »

    Le professeur Ikemi a écrit dans son livre : « Le but, la fin, la dernière station de la psychosomatique, c’est shin jin ichi nyo.»

    AZI

    Zen - Bulletin de l’Association Zen Internationale
    Association Zen Internationale
    175, rue de Tolbiac - 75013 Paris
    Tél. : 01 53 80 19 19 - Fax : 01 53 80 14 33
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    Message par Invité Lun 8 Fév 2010 - 4:20

    premier principe : mouai..
    deuxieme principe : bof..
    troisieme principe : humm..
    quatrieme : Zzzzz..
    cinquieme : hein ?!?
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    Message par Invité Jeu 20 Jan 2011 - 16:33

    Les médecins n’étudient que le corps, mais la plupart des maladies proviennent de l’esprit. Les docteurs l’ignorent et n’étudient que les organes.
    je sais que "passagère" a été touchée par mon post sur les 3 petits cochons Very Happy et je sais qu'elle sait que j'aime bien les histoires d'animaux...
    Maître Kodo Sawaki parlait souvent de kaku soku. Kaku est très important. Kaku, l’intuition. Soku, toucher. Comprendre par le toucher, le sentir, l’être.
    c'est pour ça, quand elle a lu qu'il y en a qui ne peuvent pas lire les commentaires sur le dressage du buffle, elle a mis une histoire de vache, lisible pour tous:

    http://nangpa2.free.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=53&t=4957&p=80703&hilit=vache#p80703

    J’étais arrivé tôt à mon cours de méditation dans une prison à sécurité minimale.
    Un criminel que je n’avais encore jamais vu attendait pour me parler. C’était un géant, avec des cheveux en bataille, barbu, et les bras tatoués. Les cicatrices sur son visage montraient qu’il avait dû se trouver à maintes reprises dans de violentes bagarres. Il avait l’air si redoutable que je me demandai pourquoi il venait apprendre à méditer.
    Ce n’était pas le genre. Bien sûr, je me trompais.

    Il me raconta que quelque chose s’était passé quelques jours auparavant qui lui avait fait dresser les cheveux sur la tête. Lorsqu’il commença à parler, je notai son accent prononcé d’Ulster [une des quatre provinces d’Irlande].
    En guise d’historique, il me raconta qu’il avait grandi dans les rues violentes de Belfast. Il n’avait que sept ans à son premier coup de couteau. Une brute de l’école lui avait demandé l’argent qu’il avait pour déjeuner. Il avait dit non. L’autre avait alors sorti un grand couteau et lui avait demandé son argent une deuxième fois. Il avait pensé que cette brute bluffait et il avait de nouveau refusé de le lui donner. Il n’y eut pas de troisième fois : la brute planta simplement son couteau dans le bras de cet enfant de sept ans, le ressortit et partit.
    Il me raconta avoir couru jusqu’à la maison de son père, en état de choc et le sang ruisselant le long du bras. Son père, au chômage, regarda la plaie et l’emmena dans la cuisine, mais pas pour panser la blessure. Il ouvrit un tiroir, prit un grand couteau de cuisine, le donna à son fils et lui ordonna de retourner à l’école et de poignarder son agresseur à son tour. C’est ainsi qu’il fut élevé. S’il n’était pas devenu si grand et fort, il y a longtemps qu’il serait mort.

    La prison était une prison agricole où les condamnés à de courtes peines et les prisonniers qui approchaient de leur libération pouvaient se préparer à la vie extérieure en apprenant un métier dans l’industrie agricole. La production de la ferme de la prison approvisionnait en outre toutes les prisons autour de Perth avec de la nourriture bon marché, ce qui maintenait des prix bas.
    Les fermes australiennes ne cultivent pas seulement du blé et des légumes, elles élèvent aussi des vaches, des moutons et des cochons ; et la ferme de la prison faisait de même. Mais au contraire des autres fermes, celle de la prison possédait son propre abattoir sur place.
    Tous les détenus devaient avoir un travail à la ferme de la prison. Je savais par plusieurs prisonniers que les emplois les plus recherchés étaient à l’abattoir. Ces postes étaient particulièrement populaires auprès des délinquants violents. Et le poste le plus recherché de tous, celui pour lequel il fallait se battre, était le poste de tueur lui-même. Ce gigantesque et redoutable Irlandais était le tueur. Il me décrivit l’abattoir : des grilles en acier inoxydable très résistant, dont la large ouverture se rétrécissait en un simple couloir à l’intérieur du bâtiment, juste assez large pour laisser passer un seul animal à la fois. À côté de ce couloir étroit, sur une plateforme, il se tenait avec le pistolet électrique.

    Avec l’aide de chiens et d’aiguillons électriques, les vaches, les moutons et les cochons étaient forcés d’entrer dans cet entonnoir en acier inoxydable. Il me raconta que tous les animaux hurlaient, chacun à leur façon, et qu’ils cherchaient à s’échapper. Ils pouvaient sentir la mort, entendre la mort et ressentir la mort. Quand un animal débouchait sur sa plateforme, il se contorsionnait, se tortillait et gémissait à pleine voix. Son pistolet pouvait tuer un gros taureau avec une seule décharge haute tension, mais l’animal ne se tenait jamais assez tranquille pour qu’il puisse l’atteindre correctement. Donc le premier coup servait à l’étourdir, le second à le tuer. Animal après animal. Jour après jour.
    L’Irlandais commença à s’agiter tandis qu’il en venait au fait, survenu seulement quelques jours auparavant, et qui l’avait tellement bouleversé. Il commença à jurer. Par la suite, il ne cessa de répéter : « C’est la p**** de Dieu de vérité ! », comme s’il craignait que je ne le croie pas.

    Ce jour-là, ils avaient besoin de bœuf pour les prisons autour de Perth, donc ils abattaient des vaches. Un coup pour étourdir, un coup pour tuer. C’était un jour tout à fait normal, lorsqu’une vache se présenta [d’une façon] qu’il n’avait jamais vue auparavant. Cette vache était silencieuse. Elle n’émettait même pas un gémissement. Sa tête était inclinée vers le bas tandis qu’elle marchait délibérément, volontairement, lentement jusqu’à l’emplacement jouxtant la plateforme. Elle ne se contorsionnait pas, ne se tortillait pas et n’essayait pas de se sauver. Une fois dans l’emplacement, la vache leva la tête et fixa son bourreau, absolument immobile. L’Irlandais n’avait jamais rien vu de semblable auparavant. Son esprit s’embrouilla. Il ne pouvait pas lever son pistolet, ni détacher ses yeux de ceux de la vache. La vache était en train de regarder droit en lui.

    Il glissa hors du temps. Il ne put me dire combien de temps cela dura, mais pendant ce contact visuel avec la vache, il remarqua quelque chose qui le bouleversa encore plus. Les vaches ont de très grands yeux. Il vit dans l’œil gauche de la vache, au-dessus de la paupière inférieure gauche, de l’eau qui s’accumulait. Il y en eut de plus en plus jusqu’à ce qu’il y en ait trop pour que la paupière puisse la contenir. Elle commença à couler lentement le long de sa joue, formant une ligne scintillante de larmes. Des portes fermées depuis bien longtemps s’ouvrirent lentement dans son cœur. Alors qu’il regardait, incrédule, il vit dans l’œil droit de la vache, au-dessus de la paupière du bas, à nouveau de l’eau s’accumuler, gonfler, jusqu’à ce qu’il y en ait trop pour que la paupière puisse la contenir. Une seconde traînée d’eau coula sur son visage. Et l’homme s’effondra.
    La vache pleurait.
    Il me dit avoir jeté son pistolet, et avoir juré aux responsables de la prison, aussi fort qu'il en était capable, qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient de lui, que « CETTE VACHE NE VA PAS MOURIR ! »
    Il termina en me disant qu’il était maintenant végétarien.
    Cette histoire est vraie. D’autres détenus de la prison me l’ont confirmée. Cette vache qui pleura enseigna à l’un des hommes les plus violents ce qu’est la bienveillance.

    Traduit de l’anglais par Clémentine Guyard et Françoise Degenne
    Ajahn Brahm est une personnalité du bouddhisme occidental. The cow that cried est l’une des histoires racontées dans son livre Who Ordered This Truckload of Dung ? (Wisdom Publications, 2005). La Rédaction
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    Message par Kaïkan Jeu 20 Jan 2011 - 20:03

    Bonjour fonzie,
    Quel rapport avec : "Les sept principes de Dõgen" ?
    Erreur de rubrique probablement ?
    Bonne soirée...
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    Message par Invité Jeu 20 Jan 2011 - 20:32

    Kaikan a écrit:Erreur de rubrique probablement ?
    Non, je ne pense pas.
    Mais je comprends qu'on ne puisse voir les rapports, si on n'a pas le temps de suivre les discussions des autres.

    Kaku Soku a-t-il un rapport avec "Samma sati"("attention juste")?

    Bonne soirée.
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    Message par Sylvie Ven 21 Jan 2011 - 0:25

    c'est par les erreurs qu'on apprend Very Happy
    5
    Dans les religions, on retrouve presque toujours cette notion de trinité. Le christianisme s’appuie sur la Bible, le bouddhisme sur les sutras. La Bible et les sutras sont kyo. Mais l’essentiel est la pratique, gyo. La littérature, les romans sont uniquement faits pour être lus . Si on devait les réaliser, cela de viendrait démoniaque. Tandis que si on suit la Bible ou les sutras, on ne commet pas d’erreur et on peut devenir une personne sainte. Sho, le satori, apparaît.

    Kyo gyo sho itto, pratique, sagesse, satori ne sont pas séparés. Il n’y a pas d’intervalle entre kyo, gyo et sho, pas de différence. Il n’y a pas de satori, sho, sans kyo gyo. Il n’y a pas de kyo, gyo, sans sho. Ils sont unité. Sans cette unité, il n’y a pas de religion. Malheureusement, les religions les séparent souvent.

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    Message par Kaïkan Ven 21 Jan 2011 - 7:19

    Par conséquent pratiquer za-zen c’est actualiser sa non-différence avec tous les bouddhas du passé, du présent et du futur.
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    Message par m'enfin je suis qui? Sam 22 Jan 2011 - 12:05

    Kaikan a écrit:Par conséquent pratiquer za-zen c’est actualiser sa non-différence avec tous les bouddhas du passé, du présent et du futur.
    ce qui n'est pas zazen est parfois zazen
    6
    ...Butsu kojo no homon, au-delà de Bouddha est la porte du Dharma. Il ne faut pas être limité par Dieu ou Bouddha ni par les sutras, la Bible ou les préceptes. La vraie liberté existe dans notre esprit, au-delà de Dieu ou de Bouddha. Telle est la vraie religion.
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    Message par tangolinos Sam 22 Jan 2011 - 19:30

    Vénérable Sylence a écrit:6
    ...Butsu kojo no homon, au-delà de Bouddha est la porte du Dharma. Il ne faut pas être limité par Dieu ou Bouddha ni par les sutras, la Bible ou les préceptes. La vraie liberté existe dans notre esprit, au-delà de Dieu ou de Bouddha. Telle est la vraie religion.
    Du plus profond silence émane le son le plus vénérable.

    La religion est un canot avec un équipage pour apprendre à ramer...juste pour savoir qu'on peut flotter...à nous d'en percevoir le sens...

    Quand le fruit est mûr... se pose alors la question:
    "Est-ce que la religion est là pour aider le pratiquant, ou, est-ce que le pratiquant est là pour aider la religion ?"

    Il y a un clivage où la foi supplante la croyance.
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    Message par TARA Sam 22 Jan 2011 - 20:11

    Bonsoir à toutes et à tous
    J'ouvre juste une parenthèse en m'adressant à Kaikan
    C'est beau, bien formulé et tout ce qui va avec mais justement ce " ce qui va avec ", l'AZI que tu te sens obligé d'afficher sur ce forum, fait quoi avec ses disciples dans les dojos lorsque des etres sont en souffrance hormis de les foutres à la porte du dojo et de leur dire: on n'en a rein à foutre de ton cancer!
    Alors, je voudrai dire à tous et à toutes, tous ces textes cités, commentés, aussi révelateurs soient-ils du chemin qui mène à l'éveil ne seront jamais que des textes, les pratiques que des pratiques, et les cérémonies de récitation de sutras que des textes sans consistances si vous n'y intégrez pas le respect, la compassion et l'amour pour l'autre, c'est cela en plus du reste qui fera grandir votre esprit.
    La parenthèse étant fermée, j'ajouterai ce qui me motive dans mon combat pour la vie:
    Amour, paix et bonheur dans le saint Dharma I love you
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    Message par tangolinos Sam 22 Jan 2011 - 23:41

    TARA a écrit:Bonsoir à toutes et à tous
    La parenthèse étant fermée, j'ajouterai ce qui me motive dans mon combat pour la vie:
    Amour, paix et bonheur dans le saint Dharma I love you
    PADMA DETCHENE
    Les moulins tournent et exultent de joie à t'entendre...
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    Message par Kaïkan Dim 23 Jan 2011 - 21:51

    Vénérable Sylence a écrit:
    Kaikan a écrit:Par conséquent pratiquer za-zen c’est actualiser sa non-différence avec tous les bouddhas du passé, du présent et du futur.
    ce qui n'est pas zazen est parfois zazen
    6
    ...Butsu kojo no homon, au-delà de Bouddha est la porte du Dharma. Il ne faut pas être limité par Dieu ou Bouddha ni par les sutras, la Bible ou les préceptes. La vraie liberté existe dans notre esprit, au-delà de Dieu ou de Bouddha. Telle est la vraie religion.

    C'est justement en pratiquant zazen que l'on s'émancipe de Dieu ou Bouddha, ainsi que de tous les phénomènes.
    En se dépouillant de son corps et de son esprit on se dépouille du corps et de l'esprit des autres également.
    Ne cherchez pas une faille chez les autres (ou dans mes propos élogieux sur Dõgen), mais retournez plutôt votre regard à 180° et éclairez votre propre lanterne.


    Ne gâchez pas l'instant présent !
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    Message par Kaïkan Dim 23 Jan 2011 - 22:07

    TARA a écrit:Bonsoir à toutes et à tous
    J'ouvre juste une parenthèse en m'adressant à Kaikan
    C'est beau, bien formulé et tout ce qui va avec mais justement ce " ce qui va avec ", l'AZI que tu te sens obligé d'afficher sur ce forum, fait quoi avec ses disciples dans les dojos lorsque des etres sont en souffrance hormis de les foutres à la porte du dojo et de leur dire: on n'en a rein à foutre de ton cancer!
    Alors, je voudrai dire à tous et à toutes, tous ces textes cités, commentés, aussi révelateurs soient-ils du chemin qui mène à l'éveil ne seront jamais que des textes, les pratiques que des pratiques, et les cérémonies de récitation de sutras que des textes sans consistances si vous n'y intégrez pas le respect, la compassion et l'amour pour l'autre, c'est cela en plus du reste qui fera grandir votre esprit.
    La parenthèse étant fermée, j'ajouterai ce qui me motive dans mon combat pour la vie:
    Amour, paix et bonheur dans le saint Dharma I love you
    PADMA DETCHENE

    Bonsoir Tara,

    Si tu as des problèmes avec l'AZI, tu devrais t'adresser à l'AZI.

    La Voie de la compassion commence par privilégier la non-différence, la non-séparation du corps-esprit de tous les êtres.

    Tous doivent recevoir l'aide du Bodhisattva sans qu'ils soient mis en cause par rapport à leur appartenance ou leur passé ou leur sexe ou leur âge.

    Tous on droit à l'amour de Kanjizaï-Bosatsu.

    Essayons donc de progresser ensemble dans la bonne direction sans invective et avec tolérance.

    Meilleurs vœux pour tous les nouvel-ans.
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    Message par m'enfin je suis qui? Lun 24 Jan 2011 - 9:06

    Bonjour Kaikan,
    Ne cherchez pas une faille chez les autres (ou dans mes propos élogieux sur Dõgen), mais retournez plutôt votre regard à 180° et éclairez votre propre lanterne.
    fonzie n'a pas fait "d'erreur de rubrique".

    Est-ce que quand vous parlez de 180°, vous faites allusion à la même chose que le schéma publié par Fa ?

    Les sept principes de Dõgen commentés par Maître Deshimaru Cercleed6
    et les commentaires:
    https://zen-et-nous.1fr1.net/t136-pieges-de-la-voie
    Fa a écrit:Zéro degré : est la position du petit Moi : [ On est au pied de la montagne : l'obstacle ]

    On s'attache au nom et à la forme. Les plaisirs et déplaisirs des sens engendrent attachements, et émotions.

    90 ° degrés : Moi karma [ La montagne est illusion ]

    On comprends la vacuité, on commence à en avoir l'intuition, mais l'expérience vécue, nous maintient dans la dualité.
    Notre parcours du Dharma sème le karma positif, des réalisations futures....
    Cette position doit être dépassée, pour se concrétiser dans la réalisation.

    180 ° degrés Moi vide [Il n'y a pas de montagne]

    Réalisation de la vacuité. Expérimentation du calme mental . La vacuité du monde rend tout questionnement inutile.
    Mais notre moi demeure pollué par nos résidus émotionnels.

    270° degrés Moi liberté [ On éprouve sa liberté face à la montagne ]
    On met à jours ses névroses. On dépasse ses mécanismes de compensation.On est capable de voir ce qui est bien dans ce qu'on aime pas, et ce qui est mal dans ce qu'on aime....Les contraintes deviennent opportunités de pratiquer...de dresser le buffle..


    360 degrés: Grand Moi [ La montagne est montagne ]
    On ré-investit le réel, tel qu' il est. Les pensées sont libres d'attachements.
    Les émotions ne laissent pas de traces. On est libre, sans nécessairement ressentir le besoin de l'éprouver.
    Quoiqu'il en soit,
    Kaikan a écrit:éclairez votre propre lanterne.
    c'est vrai, plutôt que des barrières entre soi et les autres, c'est mieux un "cloître de Lumière" entre nous.
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    Message par Kaïkan Lun 24 Jan 2011 - 10:28

    Bonjour,

    Est-ce que quand vous parlez de 180°, vous faites allusion à la même chose que le schéma publié par Fa ?

    Je parlais seulement de tourner le regard vers soi-même.
    Je faisais allusion au Komyozo zanmaï dont je vais transcrire le texte dans la rubrique textes sacrés.

    Je persiste à voir que certains écrits se perdent dans les branches et les feuilles, et donc ne sont plus dans la ligne de la rubrique ou du thème traité.

    Je ne jette pas la pierre, je constate seulement.

    Bonne journée.
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    Message par m'enfin je suis qui? Lun 24 Jan 2011 - 11:33

    Oui Kaikan, "des écrits se perdent dans les branches et les feuilles", mais c'est le même arbre, qu'on reconnait à ses fruits.
    https://zen-et-nous.1fr1.net/t476-reincarnation-et-renaissance#7601
    et l'arbre qui fait des glands, n'est pas le "glantier" clown

    Kaikan a écrit:Je faisais allusion au Komyozo zanmaï dont je vais transcrire le texte dans la rubrique textes sacrés.
    Merci d'avance pour cette publication.
    Il y a plusieurs rubriques "textes" sur le forum, mais "sacrés", ce n'est pas écrit flag.flag., encore un truc à signaler... à l'admin Rolling Eyes

    Bonne journée.
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    Message par TARA Lun 24 Jan 2011 - 13:41

    Merçi à Kaikan d'avoir répondu et oui je me suis adressée à L'azi et à son dirigeant, mais lorsque qu l'on ouvre la bouche à l'azi, il doit y avoir des courants d'air, car les portes ne se ferment pas elles claquent!
    Et c'est justement là que les moulins à vent sont nécessaires et font un travail merveilleux, ils emportent le vent que l'on a soufflé à l'oreille de l'autre ailleurset et toutes les poussières se dispersent pour le bien de tous.
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    Message par TARA Lun 24 Jan 2011 - 14:20

    Je n'ai plus de problème avec l'azi, mais d'autres en ont et viennent frapper à ma porte en me demandant de l'aide.
    On ne peut prétendre faire souffrir les autres au sein d'un dojo et jeter dehors ceux qui gènent sans conséquences sur ceux qui sont à la recherche d'une quete spirituelle où tout simplement à la recherche d'eux memes et sans conséquences aussi pour ceux qui restent dans l'association.
    Ne pas s'attacher aux mots, ni à aucune pratique, garder sa liberté d'agir et de pensée.
    La vraie nature de Bouddha n'est dans aucun temple, dans aucune association, dans auncun soutra ou mantra.
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    Message par Kaïkan Lun 24 Jan 2011 - 15:05

    Bonjour

    J'ouvre juste une parenthèse en m'adressant à Kaikan
    C'est beau, bien formulé et tout ce qui va avec mais justement ce " ce qui va avec ", l'AZI que tu te sens obligé d'afficher sur ce forum, fait quoi avec ses disciples dans les dojos lorsque des etres sont en souffrance hormis de les foutres à la porte du dojo et de leur dire: on n'en a rein à foutre de ton cancer!

    1°) Pour revenir au thème : "Les sept principes de Dôgen", je cite l'AZI car j'ai fait un copie-coller d'un texte sur un site de l'AZI et il est normal de respecter les droits d'auteur (copyright).

    2°) Je suis un disciple de Me Deschimaru et membre de l'AZI depuis 1978. A la mort de ce dernier en 1982, j'ai suivi son premier disciple Etienne Mokusho pendant dix ans, j'étais responsable d'un grand dojo.
    M° Etienne Mokusho est décédé du cancer sans avoir étét mis à la porte .
    M° Michel Bovay responsable de dojo de Zürich est lui aussi décédé d'un cancer sans avoir été poussé dehors par qui que ce soit.
    J'ai une longue liste de disciples malades du cancer et du sida (je la tiendrai secrète)
    Je n'ai aucun écho de rejet d'une personne sous prétexte de sa maladie.

    3°) Les accusations graves si elles sont fausses sont des diffamations.
    Il faut donc être prudent lorsque l'on fait de telles accusations.

    4°) Je ne crois pas que ce site soit un lieu pour attiser la haine ou vider ses querelles personnelles. Lorsque l'on entre dans le bouddhisme, lors de l'ordination de moine, on fait des vœux, notamment celui de ne faire aucune médisance.

    Je ne reviendrais pas sur ce sujet dans cette rubrique,je rappelle que le thème est :"Les sept principes de M°Dôgen" et non pas "règlements de comptes tous azimuts"


    BON ZAZEN.
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    Message par TARA Lun 24 Jan 2011 - 17:46

    affraid

    1° La parenthèse n'était en rien liée à ma personne mais liée à toutes et tous ceux qui souffrent de certaines partiques.
    2° Je, je, je, laissons tomber votre égo, dit-on!
    3° Ah! des menaces pour diffamations! Il y avait longtemps, lorsque qu'un client rentre chez moi et me dit que ce que je crée n'est pas beau je ne le menace pas de propos diffamatoire, heureusement que la libre expression de chacun est encore possible!
    Et pour terminer, peut etre qu'un discours d'amour et de compassion pour toutes celles et ceux qui n'auraient pas compris la pratique de zazen où en auraient eut une mauvaise compréhension aurait été plus bouddhiste!
    4° non, mais prudence tout de meme!
    5° beau prochain sujet: différence entre constatation, jugement et médisance?
    Bien à tous dans le saint Dharma I love you I love you I love you 108 fois
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    Message par TARA Lun 24 Jan 2011 - 18:24

    Merçi à tous et à toutes pour ces moments de partage I love you
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    Message par tangolinos Lun 24 Jan 2011 - 20:15

    TARA a écrit:Merçi à tous et à toutes pour ces moments de partage I love you
    oui, Tara, merci pour ton merci...
    tu peux te laisser dire...le plus grossier se subtilise...les moulins savent le faire...
    juste un souffle est suffisant...
    Il serait navrant que les moulins n'aient pas de grains à moudre...
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    Message par Invité Lun 24 Jan 2011 - 20:32

    Bonsoir,
    TARA a écrit:affraid

    1° La parenthèse n'était en rien liée à ma personne mais liée à toutes et tous ceux qui souffrent de certaines partiques.
    2° Je, je, je, laissons tomber votre égo, dit-on!
    Je vais encore faire du hors rubrique, mais j'ai "constaté" que les tartufferies sur l'abandon de l'ego sont des pratiques de névrosés cherchant à asservir d'autres névrosés.


    Kaikan a écrit: Je ne crois pas que ce site soit un lieu pour attiser la haine ou vider ses querelles personnelles. Lorsque l'on entre dans le bouddhisme, lors de l'ordination de moine, on fait des vœux, notamment celui de ne faire aucune médisance.
    il ne doit pas y avoir beaucoup de moines sur les forums bouddhistes, alors !
    Quant à ceux, que j'ai vu sur d'autres forums bouddhistes, qui par l'insulte, la diffamation, la calomnie, la censure, le silence complice, l'exclusion... voient des moyens "habiles" pour soigner l'ego de l'autre, c'est du "n'importe quoi". Les auteurs de ces formes de "médisances" ne méritent pas le respect.
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    Message par Kaïkan Lun 24 Jan 2011 - 20:50

    fonzie a écrit:Bonsoir,

    Kaikan a écrit: Je ne crois pas que ce site soit un lieu pour attiser la haine ou vider ses querelles personnelles. Lorsque l'on entre dans le bouddhisme, lors de l'ordination de moine, on fait des vœux, notamment celui de ne faire aucune médisance.
    il ne doit pas y avoir beaucoup de moines sur les forums bouddhistes, alors !
    Quant à ceux, que j'ai vu sur d'autres forums bouddhistes, qui par l'insulte, la diffamation, la calomnie, la censure, le silence complice, l'exclusion... voient des moyens "habiles" pour soigner l'ego de l'autre, c'est du "n'importe quoi". Les auteurs de ces formes de "médisances" ne méritent pas le respect.

    Dans le bouddhisme les vœux ne sont pas des commandements.

    Pour les chrétiens : "tu ne tueras pas!"
    Pour un moine bouddhiste :"Je m'efforcerais à respecter la vie de tous les êtres sensibles"
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    Message par TARA Lun 24 Jan 2011 - 21:27

    Hier, je suis allée sur les rochers de St Guénolé, un endroit rempli de cette énergie dont j'ai tant parlée sur ce forum, au détour d'un rocher magnifique que seule la nature a fait naitre, il y avait une petite pancarte inscrit dessus " moulin à vent" elle n'indiquée aucune direction à prendre cette pancarte, je me suis mise à penser à toi Tangolinos, cette pancarte qui ne voulait rien dire au milieu de cette nature magnifique était seulement carressée par le vent qui soufflait et ne voulant rien dire, elle avait tant de choses à nous dire et le plus beau dans tout cela c'est que cette histoire est vraie!
    Les moulins à vent ne retiennent pas le vent, ils leur semblent que le vent soit le meme avant et après les avoir touché et pourtant...................
    Aucunes querelles, aucun compte à régler " je n'ai de dette envers personne et personne n'a de dette envers moi", JUSTE LA VIE.
    Bien à vous tous et toutes I love you

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