feu dans le poêle
l'hiver est fini
celui qui n'y croit
ne croît... ou presque
G-Ni a écrit:calcul à la con
feu dans le poêle
l'hiver est fini
celui qui n'y croit
ne croît... ou presque
G-Ni a écrit:la règle du temps
passent ici les saisons
compte si tu veux
la poèsie est libre
ton zafu ma foi se tasse
patron?
tangolinos a écrit:Dogen a vécu
et nombreuses sont ses traces
quel est son message ?
essencier dans l'existence
pour exister dans l'essence
Kaïkan a écrit:
Assis bien à l'aise
Fujiyama fait zazen
Gardant son chapeau
Kaïkan, le texte a plus d'intérêt que moi-même... peu importe que cela me convienne...Essencifier l'existence
English version Version française There was a time when men were kind
When their voices were soft
And their words inviting
There was a time when love was blind
And the world was a song
And the song was exciting
There was a time
Then it all went wrong
I dreamed a dream in time gone by
When hope was high
And life worth living
I dreamed that love would never die
I dreamed that God would be forgiving
Then I was young and unafraid
And dreams were made and used and wasted
There was no ransom to be paid
No song unsung, no wine untasted
But the tigers come at night
With their voices soft as thunder
As they tear your hope apart
As they turn your dream to shame...
He slept a summer by my side
He filled my days with endless wonder
He took my childhood in his stride
But he was gone when autumn came
And still I dream he'll come to me
That we will live the years together
But there are dreams that cannot be
And there are storms we cannot weather
I had a dream my life would be
So different from this hell I'm living
So different now from what it seemed
Now life has killed the dream
I dreamed.
Il fut un temps où les hommes étaient gentils
Lorsque leurs voix étaient douces
Et leurs paroles attirantes
Il fut un temps où l’amour était aveugle
Et que le monde était une chanson
Et la chanson était passionnante
Il fut un temps
Et puis tout tourna mal
J’ai fait un rêve dans le temps passé
Quand l’espoir était brillant
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais
J’ai rêvé que Dieu serait clément
J’étais alors jeune et sans peur
Et les rêves étaient réalisés et usés et jetés
Il n’y avait aucune rançon à payer
Aucun chant réprimé, aucun vin non goûté
Mais les tigres viennent la nuit
Avec leur voix aussi douce que la foudre
En déchirant vos espoirs en lambeaux
En transformant vos rêves en honte…
Il a dormi un été à mes côtés
Il a rempli mes jours d’un émerveillement infini
Il a pris mon enfance dans la foulée
Mais il était parti quand l’automne vint
Et je rêve qu’il me reviendra
Que nous vivrons des années ensemble
Mais il y a des rêves qui ne peuvent être
Et des tempêtes que nous ne pouvons traverser
J’ai rêvé que ma vie serait
Si différente de cet enfer que je vis
Si différente de ce qu’elle semble devenue
Maintenant la vie a tué le rêve
Que j’ai fait…
On dirait un gnome, on voit encore la marque de l'épée retirée par ArthurKaïkan a écrit:
Tanka pour le rocher Arthur...
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