Fa a écrit:On pourrait aussi dire, que la liberté est un idéal, et que le non-attachement si situe au delà de tout idéal,etc...
Mais il est vrai, que dés qu'on s'accroche aux mots, on tombe en enfer, quelque-soit les mots employés....
D'autant plus que je ne parle pas de liberté dans le sens d'un idéal mais dans le sens de l'expression de celui qui ne suit aucun ordre particulier car il n'est relié à rien de spécial.
Prenons par exemple un Bouddha qui baigne dans le non-attachement (qui est aussi une façon de traduire le mot : nirvana), tous ses gestes et toutes ses attitudes seront l'expression de la liberté de « celui qui ne suit aucun ordre particulier car il n'est relié à rien de spécial. »
Il est à considérer que les gens attachés sont en quelque sorte prisonniers et que ceux qui se libèrent de leurs attachements, n'en étant plus prisonniers, se comportent en manifestant de façon naturelle inconsciente et spontanée leur liberté fondamentale qui jaillit purement et simplement de leur nature originelle.
J'espère avoir clarifié ce que je voulais exprimer. Écrire, parler, c'est aussi lié avec le geste et l'attitude en faisant intervenir le "son" (c'est certainement une action musicale... )
Flûte bansuri