Ayé! Je comprends pourquoi je n'arrivais pas à trouver le kanji: je cherchais avec un nombre de traits insuffisant!
(J'avais compté 17, il y en a 18).
(J'avais compté 17, il y en a 18).
kaïkan a écrit:Merci Thierry (2x3=6)
Ben oui, c'est évident après coup :Yudo, maître zen a écrit:
(J'avais compté 17, il y en a 18).
Thierry a écrit:Il existe deux variantes pour le vers :
première variante, reprise ici par T. Deshimaru : 雞曉五更鳴
seconde variante : 雞向五更啼
Bonjour Thierry, s'il vous plait mettez entre parenthèses la prononciation des kanjis !thierry236 a écrit:Bonjour,
Le chinois possède une dizaine d'adverbes de négation, 不 est utilisé devant les adjectifs et les verbes, 無 devant les noms et les pronoms.
Le composé 不動, "inamovible, inébranlable" entre dans de nombreuses expressions. 不動智, "la sagesse inébranlable" désigne l'attitude intérieure du pratiquant des arts martiaux. C'est une expression fort connue au Japon. Vous trouverez cette calligraphie de T. Deshimaru avec une explication dans son livre Zen et Arts Martiaux.
Thierry
heu... l'oreille interne ? il parait que c'est où il y a le sens de l'équilibre.Fred a écrit:
sujet ?
Bhante Henepola Gunaratana, dans : L’Attention au Corps a écrit:Cette attitude est particulièrement efficace quand nous pratiquons la méditation formelle assise. Il arrive, dans ces moments-là, que des souvenirs nous reviennent à l’esprit. Beaucoup de gens se plaignent de ne pouvoir pratiquer l’attention ou la concentration quand tant de choses tournent dans leur esprit — et les objets visuels ne sont que l’une des nombreuses choses qui peuvent apparaître en méditation ! Il s’agit donc d’en prendre immédiatement conscience, de les considérer avec équanimité et puis de revenir à la respiration. La respiration est un objet neutre. Nous n’éprouvons généralement ni attachement ni répulsion à son égard, c’est pourquoi nous l’utilisons en tout premier lieu pour rappeler l’attention au présent.
Source → enseignement vipassana