En fait, très bêtement, je cite très souvent l'anecdote du Bouddha qui, en marchant (nu-pieds) s'est blessé au pied sur un silex coupant. Quiconque s'est blessé au pied sait de quoi il s'agit!
Il dit: "Ecoutez, on va pas tortiller du cul, ça fait mal! Mais si, en plus d'avoir à endurer la douleur que j'ai, je passais mon temps à me lamenter de ce que ça fait mal, j'aurais mal deux fois!" (J'avoue, j'ai un peu "fleuri" le langage...).
Comme le mentionne lausm, " vouloir arrèter de souffrir peut vraiment faire de la vie un enfer!". Ce qui doit partir, c'est l'attachement. Une sensation agréable se produit, ok, c'est bon. Quand elle est terminée, c'est fini, on n'en parle plus. Une sensation désagréable se produit, ok, c'est bon. Quand elle est terminée, c'est fini, on n'en parle plus.
Pas facile comme programme, mais ça marche, je peux en témoigner, même si je n'y arrive pas à 100%.
Il dit: "Ecoutez, on va pas tortiller du cul, ça fait mal! Mais si, en plus d'avoir à endurer la douleur que j'ai, je passais mon temps à me lamenter de ce que ça fait mal, j'aurais mal deux fois!" (J'avoue, j'ai un peu "fleuri" le langage...).
Comme le mentionne lausm, " vouloir arrèter de souffrir peut vraiment faire de la vie un enfer!". Ce qui doit partir, c'est l'attachement. Une sensation agréable se produit, ok, c'est bon. Quand elle est terminée, c'est fini, on n'en parle plus. Une sensation désagréable se produit, ok, c'est bon. Quand elle est terminée, c'est fini, on n'en parle plus.
Pas facile comme programme, mais ça marche, je peux en témoigner, même si je n'y arrive pas à 100%.