Salut Yudo,
C’est exact, j’aurais du dire : "Pour cela il n'y a qu'un seul moyen: zazen, lire l’enseignement, zazen, lire l’enseignement, zazen, etc...
Car la Kusen est l’enseignement oral pendant zazen, et les textes sont des écrits pour être lus en dehors des heures de zazen.
Je rectifie aussi en explicitant davantage la phrase:
Il faut comprendre soi-même (car seul soi-même peut comprendre indépendamment de qui que ce soit et de quoi que ce soit) .
Exemple Jijuyu zanmaï le Samâdhi que seul soi-même peut comprendre, que seul soi-même peut en éprouver la joie.
Je tiens aussi à dire que lorsque vous êtes (Les pratiquants de zazen) en méditation, les bruits ne devraient pas vous déranger.
Si les bruits vous dérangent sachez que vous n’êtes pas en "dhyâna" a fortiori pas en Samâdhi.
Je ne conteste pas la dérive de l’emploi systématique du kyosyaku qui peut devenir un jeu et perdre sa « substance », sa véritable et respectable vocation traditionnelle (l’éveil). Cependant il ne peut être rejeté à cause du bruit, mais doit être utilisé avec intelligence. N’oublions pas que le "kyosakuman" doit aussi rectifier les postures de débutants ou de ceux qui somnolent et se mettent de travers, et ceci sans aucun bruit.
Je n'aime pas me citer moi-même mais tu m'y a obligé pour cause de clarification. J'espère que mon effort n'aura pas été vain...
Bon zazen.
Mokudo Taisen lui-même spécifiait que si on lisait son kusen, ce n'était plus un kusen.
C’est exact, j’aurais du dire : "Pour cela il n'y a qu'un seul moyen: zazen, lire l’enseignement, zazen, lire l’enseignement, zazen, etc...
Car la Kusen est l’enseignement oral pendant zazen, et les textes sont des écrits pour être lus en dehors des heures de zazen.
Je rectifie aussi en explicitant davantage la phrase:
La compréhension des autres, même celle de Super-maîtres, n'est aucunement une aide (pour trouver notre propre compréhension).La compréhension des autres, même celle de Super-maîtres, n'est aucunement une aide.
Il faut comprendre soi-même.
Il faut comprendre soi-même (car seul soi-même peut comprendre indépendamment de qui que ce soit et de quoi que ce soit) .
Exemple Jijuyu zanmaï le Samâdhi que seul soi-même peut comprendre, que seul soi-même peut en éprouver la joie.
Je tiens aussi à dire que lorsque vous êtes (Les pratiquants de zazen) en méditation, les bruits ne devraient pas vous déranger.
Si les bruits vous dérangent sachez que vous n’êtes pas en "dhyâna" a fortiori pas en Samâdhi.
Je ne conteste pas la dérive de l’emploi systématique du kyosyaku qui peut devenir un jeu et perdre sa « substance », sa véritable et respectable vocation traditionnelle (l’éveil). Cependant il ne peut être rejeté à cause du bruit, mais doit être utilisé avec intelligence. N’oublions pas que le "kyosakuman" doit aussi rectifier les postures de débutants ou de ceux qui somnolent et se mettent de travers, et ceci sans aucun bruit.
Je n'aime pas me citer moi-même mais tu m'y a obligé pour cause de clarification. J'espère que mon effort n'aura pas été vain...
Bon zazen.