@zanshin
Je te remercie pour ce LIEN qui évoque les différents niveaux de discours qu’ a manifestés Bouddha.
Tel que tu me connais, je ne suis pas du genre à lire n’importe quoi… et à emmagasiner des connaissances sans en avoir compris le sens de l’intention préliminaire.
Disons, que ma comprenure est plutôt du style géométrique, et ces trois tours de roues me semblent fondamentaux pour choisir la manière d’ orienter notre attention.
Ces trois tours de roue, montrent bien que:
1/ le premier s’ adresse à tous.
(à tout ceux qui doutent de l’ existence de la montagne)
2/ le deuxième s’ adresse aux élèves convaincus.
(le doigt tendu évoque la non-existence de la montagne)
3/ le troisième s’ adresse aux Bouddhas.
(une tentative de décrire la montagne)
Il est, en effet, bien compréhensible, que selon les oreilles qui écoutent, on ne dise pas les mêmes choses.
Je te remercie encore pour ce lien, puisque souvent je m’insurge pour certains propos, sans vraiment avoir vu de quel tour de roue il s’agissait.
Ce qui est marrant, c’est qu’il est possible de dire en apparence n’importe quoi.
En toute compassion, on pourrait dire:
1/ dans un premier tour de roue: la montagne qu’est-ce que c’est ?
2/ dans le deuxième tour de roue: il n’ y a pas de montagne !
3/ dans le troisième: c’est ça la montagne !
en conclusion , on pourrait dire que les farfelus moyens habiles des maîtres sont dérivés de ces trois tours de roue.
Je te remercie pour ce LIEN qui évoque les différents niveaux de discours qu’ a manifestés Bouddha.
Tel que tu me connais, je ne suis pas du genre à lire n’importe quoi… et à emmagasiner des connaissances sans en avoir compris le sens de l’intention préliminaire.
Disons, que ma comprenure est plutôt du style géométrique, et ces trois tours de roues me semblent fondamentaux pour choisir la manière d’ orienter notre attention.
Ces trois tours de roue, montrent bien que:
1/ le premier s’ adresse à tous.
(à tout ceux qui doutent de l’ existence de la montagne)
2/ le deuxième s’ adresse aux élèves convaincus.
(le doigt tendu évoque la non-existence de la montagne)
3/ le troisième s’ adresse aux Bouddhas.
(une tentative de décrire la montagne)
Il est, en effet, bien compréhensible, que selon les oreilles qui écoutent, on ne dise pas les mêmes choses.
Je te remercie encore pour ce lien, puisque souvent je m’insurge pour certains propos, sans vraiment avoir vu de quel tour de roue il s’agissait.
Ce qui est marrant, c’est qu’il est possible de dire en apparence n’importe quoi.
En toute compassion, on pourrait dire:
1/ dans un premier tour de roue: la montagne qu’est-ce que c’est ?
2/ dans le deuxième tour de roue: il n’ y a pas de montagne !
3/ dans le troisième: c’est ça la montagne !
en conclusion , on pourrait dire que les farfelus moyens habiles des maîtres sont dérivés de ces trois tours de roue.