L'esprit est un éléphant.
Dernière édition par Fred le Dim 13 Nov 2011 - 2:27, édité 1 fois
Avoir (ou développer) une forte personnalité est essentiel pour la Voie. Il en faut pour en arriver à admettre que cette personnalité dépend de l'existence des autres et du reste pour pouvoir être.Afterlife a écrit:Etant donné mon jeune âge, je reste dans l'incertitude de ma personne. Je lis vos post avec attention et celui m'instruit beaucoup et m'aide à si je puis dire avancer. Je reste dans le problème de l'affirmation de moi, et je ne parle pas de l'égo mais plutôt de ma personnalité. Normal me direz-vous mais le problème est que je voudrais être hors des conditionnement externe, tel que la société, me sentir et être comme en sortant de zazen. Comme je l'ai dit , je ne parle pas d'un moi propre mais plutôt d'une éthique comportementale.
C'est pourtant la question fondamentale de "La vie de Brian" des Monty Python : "Y a-t-il une vie avant la mort?"Afterlife a écrit:Bonjour =) On me ne l'avais jamais fait le " BeforeDeath" , je vois bien et je comprend bien ce que vous voulez dire et j'en suis en total accord, mais à force d'être face à la soif consumante, j'ai belle et bien peur de me perdre
Afterlife a écrit:Je ne connais pas Monty Python ( ah ah ! l'inculte ! ), enfin si mais que de nom
Donc me revoilà avec une nouvelle question, car plus je plonge dans mes problèmes qui m’empêchent d'avancer, je découvre enfin la source du problème, l'avidité ! Que faire, que dire !?
Justement, c'est lui qui nous permet d'avancer. C'est comme ce jouet qui consiste en une plaque et des carrés qu'on doit bouger pour réaliser un dessin ou un ordre de chiffres ou de lettres. On ne peut bouger les carrés que parce qu'il en manque un. Si on remplissait ce manque, il n'y aurait plus de jeu.Afterlife a écrit:Ah les Rolling Stones çà je connais ( surtout Satisfaction avec mon petit groupe ) , mais donc, on ne doit pas se laisser manger par ce manque ?
Non plus. L'idée est simplement de prendre les choses telles qu'elles sont. Certains vont tout de suite pousser de hauts cris en disant que c'est du fatalisme, du quiétisme. Ce n'est pas cela.Afterlife a écrit:Mais ne faut-il pas tendre vers l'aversion ?
L'avidité, c'est aussi vouloir retenir ce qu'on a. Tu manges un bon gâteau, et quand il n'y en a plus, tu es malheureux parce que tu voudrais qu'il y en ait encore.Afterlife a écrit:Merci Comme on a dit : prend ce qui te manque dans ce que tu as" mais alors, il faut regarder dans nous-même. Cependant, où est le lien entre avidité et "ce que l'on fait avec" ? Faut-il en être un décroché observateur ?
Afterlife a écrit:Après recherche, il y a donc 3 poisons : L'avidité, la haine et l'ignorance